Une chercheuse de l’université d’Anvers a effectué une enquête de grande envergure sur les filles-mères en Flandre. Certaines idéespréconçues semblent se confirmer dans la réalité mais pour ce qui est d’une approche spécifique et adaptée de cette problématique, tout resteà faire, constate l’auteure.

En 2008, malgré un fort ralentissement économique, 158 PME ont vu le jour grâce au soutien de Job’In.

Le dispositif d’interventions intégrées pour l’emploi, « Disie ,» va œuvrer, jusqu’en 2013, à améliorer l’insertionsocioprofessionnelle des migrants sur le territoire de la province de Namur.

Des prisons africaines, aux Instituts publics de protection de la jeunesse (IPPJ) belges, Mahalia De Smedt décode les souffrances par la plume. Avec ses ateliers d’écriture, ellepermet aux jeunes détenus d’accéder à l’introspection et de réfléchir à leurs gestes.

Rencontre avec le responsable de la Section Jeunesse au tribunal de Bruxelles, l’avocat Juan Verlinden.

Après 10 ans de lutte stérile, la Cité moderne obtient son permis d’urbanisme pour rénover des logements sociaux classés. Un cas isolé ?

Le plan d’action national Inclusion, instrument politique, déclaration de principe, ou réel outil pour les acteurs de terrain luttant contre toutes les formes de pauvreté?

Un projet d’orchestre à l’école est lancé cette année dans trois établissements scolaires bruxellois en milieu populaire par l’asbl ReMuA. Objectif :développer la créativité artistique des élèves, favoriser rencontre et ouverture, mais aussi lutter contre le décrochage scolaire.

Dix entreprises d’économie sociale actives dans le réemploi ont adopté le label Rec’Up qui uniformise leur approche commerciale sans gommer les spécificités dechacun.

Le RSA (revenu de solidarité active), à la fois objet d’espoir et de méfiance, tente d’apporter une réponse au désarroi social qui prévautactuellement dans l’Hexagone.

Depuis janvier 2009, O-Zone rassemble une série d’associations bruxelloises le long du canal. Portrait d’un centre d’entreprises hors norme.

Le Centre universitaire de Charleroi (Cunic)¹ propose une nouvelle formation pour les « primo-arrivants régularisés ». En dix semaines, lesapprenants devraient être outillés pour réussir leur intégration socioprofessionnelle.