Archives : 2013
Parcours d’accueil des primo-arrivants : financer l’obligation
Les contours du futur parcours d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles se précisent. La volonté politique est de rendre l’apprentissage de la langue obligatoire à terme. Avec quels moyens ?
Bon voisinage autour de la rue d'Aerschot
L’espace P veut faire se rencontrer deux univers que tout oppose en apparence : les prostituées de la Gare du Nord et les populations majoritairement musulmanes qui vivent dans le quartier.
Le français langue étrangère, une urgence
Un constat s’impose en Région bruxelloise : il n’y a pas assez de cours de français langue étrangère. Pourtant, la demande est chaque année de plus en plus forte auprès des associations, mais celles-ci doivent refuser du monde ou mettre des élèves sur liste d’attente.
A Anderlecht, Fefa met la balle au centre de la réussite
A Cureghem, la commune d’Anderlecht a mis sur pied le projet Fefa[x]1[/x]. Où l’on mobilise les jeunes sur leur scolarité grâce au foot.
Rajaa Jabbour se bat pour les non-voyants
Rajaa Jabbour a fondé l’association Le Troisième œil qui propose des formations et une aide à l’accès aux études pour les mal et non-voyants, notamment primo-arrivants. Un combat intimement lié à son histoire personnelle.
Communes et associations : concertation ou domination ?
Le décret sur la cohésion sociale instaure une concertation entre pouvoir politique local et associations. Les modèles de concertation varient de commune en commune. Parmi les treize concernées, certaines assument un rôle centralisateur. D’autres mettent l’accent sur la participation.
Une politique de cohésion sociale, deux « écoles »
Les priorités 2011-2015 pour la Cohésion sociale laissent-elles encore de la place aux projets « socioculturels » ? Au-delà de la « polémique », ce sont deux visions de la cohésion sociale qui semblent s’affronter.
Picol dynamise la cohésion à Laeken
Outre les mauvais jeux de mots que son nom peut générer, l’association Picol[x]1[/x] (Partenariat intégration cohabitation à Laeken) est surtout connue à Laeken pour sa présence dans bon nombre de projets mis en place au sein de l’ancienne commune rattachée à Bruxelles-Ville. Le tout se fait dans une optique dynamique de cohésion.
Tensions autour de la rédéfinition du soutien scolaire
La Cocof n’a pas souhaité définir l’une des trois priorités du programme de cohésion sociale qui est le soutien et l’accompagnement scolaire afin de ne pas en limiter l’offre des différentes associations. L’objectif : permettre de mettre en place différentes approches pédagogiques appropriées à leur public. Ces associations n’aident pas uniquement les jeunes à faire leurs devoirs. Elles sont également chargées d’organiser des activités périphériques, encadrer le parent et maintenir des contacts avec l’école.
Y a-t-il des passerelles entre cohésion sociale et PCS ?
Les plans de cohésion sociale (PCS) dans le secteur du logement en Région bruxelloise sont-ils liés au décret de la Cocof ? Formellement, non. Sur le terrain, c’est plus nuancé.
Quand les participants ont la parole
Près de 300 associations bruxelloises sont soutenues par le décret de cohésion sociale. Des centaines de personnes ont donc à cœur d’œuvrer pour plus d’éducation, d’intégration et d’un mieux-vivre ensemble. Les responsables de projets se montrent motivés. Mais que ressentent réellement les participants ?
Cohabitation interculturelle : des projets pour moins de tensions
Bien des associations oeuvrent pour plus de mixité culturelle. Une cohabitation harmonieuse entre communautés n’est-elle qu’une naïve utopie ? Comment gérer les conflits dans les différents groupes et ateliers ? La cohésion sociale ne se fait pas en ignorant une réalité souvent compliquée et en pleine évolution.