Archives : 2016
Maltraitance: les conseils hollandais
Un rapport du Centre fédéral d’expertise des soins de santé évalue la politique en matière de détection de la maltraitance infantile en Belgique. Le constat du manque de coordination des différents acteurs concernés est un classique. Le modèle proposé par les auteurs du rapport, inspiré des Pays-Bas et bien plus coercitif que ce qui se fait ici, ne fait pas l’unanimité.
Le testing est (presque) arrivé près de chez vous
La discrimination à l’embauche et à l’accès au logement ne faiblit pas. Le testing, ou test de situation, pourrait être un moyen efficace pour endiguer ce problème. Le procédé est actuellement discuté à Gand et à Bruxelles. Mais les freins politiques sont nombreux.
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Le futur à l’école
Lancée en mars dernier par la Région wallonne, l’opération «Les métiers vont à l’école» prend son envol dans la province de Hainaut et s’étendra à terme à toute la Wallonie. Via des ateliers interactifs, cette campagne veut informer les élèves du secondaire sur les métiers d’avenir et les réalités du marché de l’emploi.
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Des enfants dans le vent
Aujourd’hui, plus de neuf éoliennes wallonnes sur dix sont la propriété de multinationales. Mais un nouveau type d’investisseurs se réapproprient ces moyens de production: des enfants.
Bourrés et repus, mais citoyens
Altérez-vous est un « café citoyen » situé à Louvain-la-Neuve. Détail qui tue : la structure est constituée en coopérative et tente de promouvoir la consommation responsable et locale. Avant d’exporter son modèle ?
Malempré, le plus «chaud» village de Wallonie
Deux ans après l’inauguration de sa «chaudière villageoise», pari réussi pour la coopérative citoyenne de Malempré (Manhay), qui propose à ses habitants une facture énergétique moins chère et plus écologique. Pour alimenter la chaudière, une production en circuit court de plaquettes de bois se développe lentement mais sûrement. Un nouveau projet pourrait bien la faire décoller: exploiter la biomasse sur les abords de l’autoroute qui traverse la commune.
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Le 123: royale occupation
Depuis 2007, au 123 rue Royale, à quelques pas du Botanique, une communauté hétéroclite a investi un immeuble de bureaux de sept étages et y expérimente, bon gré mal gré, la vie collective. Un laboratoire où se croisent ex-sans-abri, activistes, étudiants, anars et sans-papiers.
Hébergement non agréé: pas si sweet home…
A Uccle, les gestionnaires d’un centre d’hébergement non agrées pour personnes handicapées sont soupçonnés de maltraitance. Une enquête de police est en cours pour coups et blessures. Un fait divers qui questionne une fois de plus l’existence de maisons dites « pirates » et plaide pour un contrôle accru sur ces structures.
Carte d’identités
Bienvenue à Cureghem ! À l’occasion de l’édition 2016 de BruXitizen, qui s’associe cette année au Festival des Libertés, Alter a choisi de vous emmener en promenade dans un de ces quartiers qui, à l’instar de Molenbeek, n’ont pas bonne presse. Un quartier sur lequel les journalistes en herbe de l’Alter Médialab, le projet de journalisme participatif de l’Agence, tenteront d’apporter un nouvel éclairage.
Carte d’identités
Bienvenue à Cureghem ! A l’occasion de l’édition 2016 de BruXitizen, qui s’associe cette année au festival des Libertés, Alter a choisi de vous emmener en promenade dans un de ces quartiers qui, à l’instar de Molenbeek, n’a pas bonne presse. Un quartier sur lequel les journalistes en herbe de l’Alter Médialab, le projet de journalisme participatif de l’Agence, tenteront d’apporter un nouvel éclairage 1.
Boulots de merde !
Ils sont cireurs de chaussures, infirmiers, distributeurs de prospectus, ou gestionnaire de patrimoine… Leur point commun: ils font des boulots de merde. Julien Brygo et Olivier Cyran, journalistes, qui, comme ils le confient d’emblée «font donc partie du club», ont décidé d’aller à la rencontre de ces métiers, y compris les plus utiles socialement, rongés par la précarisation.
Transidentités: pour un parcours d’un autre genre
Modifier ses organes génitaux ou changer le genre de son prénom? Pas si vite! Un petit détour par le cabinet d’un psychiatre s’impose. Cette étape obligatoire laisse entendre que la transidentité relèverait de la maladie mentale. Depuis des années, la communauté transgenre plaide pourtant pour une dépsychiatrisation de ses cheminements, multiples et singuliers.