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Regard critique · Justice sociale

Economie

À Liège, un prêt sans intérêt pour aider propriétaires et locataires

Les tuteurs énergie des CPAS sont souvent confrontés à des bâtiments mal isolés qui ruinent les locataires autant que l’efficacité de leurs conseils en matière d’économies d’énergie.

Les tuteurs énergie des CPAS sont souvent confrontés à des bâtiments mal isolés qui ruinent les locataires autant que l’efficacité de leurs conseils en matière d’économies d’énergie. À Liège, le CPAS a pris le problème en amont.
Comment économiser l’énergie quand les fenêtres laissent passer les courants d’air ou quand la chaudière consomme comme dans les années 60 ? La réponse est évidente : il faut faire les travaux nécessaires. Et aider ceux qui ne peuvent y faire face. C’est la mission du service éco-logement du CPAS de Liège. « C’est un architecte qui constitue le dossier, explique Valérie Bernard, responsable du service. Il assure, avec l’entrepreneur, son suivi technique, mais un accompagnement social est aussi prévu. »
La rénovation ou la réhabilitation du logement est financée par un prêt d’un maximum de 10 000 euros, remboursable en cinq ans avec un taux d’intérêt de 0 %. « L’objectif de notre service est de suivre 40 dossiers par an. En 2013, nous avons reçu 58 demandes mais 38 seulement ont reçu une réponse favorable. »
La demande d’intervention peut être faite tant par le propriétaire que par le locataire. Si c’est le locataire qui s’adresse au service éco-logement, « nous visitons avec lui le logement. S’il est insalubre ou en très mauvais état, nous prenons contact avec le propriétaire et nous l’orientons vers le service énergie pour l’aider à faire les travaux...

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Les tuteurs énergie des CPAS sont souvent confrontés à des bâtiments mal isolés qui ruinent les locataires autant que l’efficacité de leurs conseils en matière d’économies d’énergie. À Liège, le CPAS a pris le problème en amont.
Comment économiser l’énergie quand les fenêtres laissent passer les courants d’air ou quand la chaudière consomme comme dans les années 60 ? La réponse est évidente : il faut faire les travaux nécessaires. Et aider ceux qui ne peuvent y faire face. C’est la mission du service éco-logement du CPAS de Liège. « C’est un architecte qui constitue le dossier, explique Valérie Bernard, responsable du service. Il assure, avec l’entrepreneur, son suivi technique, mais un accompagnement social est aussi prévu. »
La rénovation ou la réhabilitation du logement est financée par un prêt d’un maximum de 10 000 euros, remboursable en cinq ans avec un taux d’intérêt de 0 %. « L’objectif de notre service est de suivre 40 dossiers par an. En 2013, nous avons reçu 58 demandes mais 38 seulement ont reçu une réponse favorable. »
La demande d’intervention peut être faite tant par le propriétaire que par le locataire. Si c’est le locataire qui s’adresse au service éco-logement, « nous visitons avec lui le logement. S’il est insalubre ou en très mauvais état, nous prenons contact avec le propriétaire et nous l’orientons vers le service énergie pour l’aider à faire les travaux...

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Martine Vandemeulebroucke

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