L’alliance emploi-environnement wallonne (AEE) fait ses comptes. Et publie des résultats, commentés pour Alter Échos par trois représentants de partenaires impliqués dans l’AEE.
C’est l’heure des bilans pour Jean-Marc Nollet (Écolo), qui était toujours ministre wallon du Développement durable à l’heure où nous écrivions ces quelques lignes. Le ministre a publié sur son site Internet le bilan 2010-2014 de la première alliance emploi-environnement. Dédiée à la construction durable, elle a mobilisé pas moins de 44 partenaires autour de plus de 52 mesures. Pour rappel, il s’agissait d’« améliorer la qualité du bâti wallon et des performances énergétiques associées, tout en orientant le secteur de la construction vers une approche plus durable et en renforçant son niveau d’emploi ». Le tout en travaillant autour de trois axes : stimuler la demande en rénovation/construction durable, renforcer l’offre et les capacités du secteur de la construction, et développer les compétences via les formations vertes.
Pour le ministre et le gouvernement, c’est sûr : les effets de l’alliance sont positifs. Pour faire le bilan de son côté et tenter de mettre cet optimisme en perspective, Alter Échos a posé quelques questions à trois interlocuteurs : Francis Carnoy, directeur général de la Confédération construction wallonne (CCW); Jean-Luc Bodson, chargé de projet chez Solidarité des alternatives wa...
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L’alliance emploi-environnement wallonne (AEE) fait ses comptes. Et publie des résultats, commentés pour Alter Échos par trois représentants de partenaires impliqués dans l’AEE.
C’est l’heure des bilans pour Jean-Marc Nollet (Écolo), qui était toujours ministre wallon du Développement durable à l’heure où nous écrivions ces quelques lignes. Le ministre a publié sur son site Internet le bilan 2010-2014 de la première alliance emploi-environnement. Dédiée à la construction durable, elle a mobilisé pas moins de 44 partenaires autour de plus de 52 mesures. Pour rappel, il s’agissait d’« améliorer la qualité du bâti wallon et des performances énergétiques associées, tout en orientant le secteur de la construction vers une approche plus durable et en renforçant son niveau d’emploi ». Le tout en travaillant autour de trois axes : stimuler la demande en rénovation/construction durable, renforcer l’offre et les capacités du secteur de la construction, et développer les compétences via les formations vertes.
Pour le ministre et le gouvernement, c’est sûr : les effets de l’alliance sont positifs. Pour faire le bilan de son côté et tenter de mettre cet optimisme en perspective, Alter Échos a posé quelques questions à trois interlocuteurs : Francis Carnoy, directeur général de la Confédération construction wallonne (CCW); Jean-Luc Bodson, chargé de projet chez Solidarité des alternatives wa...