Fini les CPAS en Flandre? Le doute subsiste plus que jamais. Et dire qu’il y a un an, tout paraissait si simple: le gouvernement flamand avait tranché la question avec la création dès 2019 d’un comité social au sein des services communaux. Le fédéral n’avait plus qu’à donner sa bénédiction en modifiant la législation…
Le dossier d’intégration des CPAS en Flandre coince. En cause: deux avis juridiques qui ont depuis ruiné le travail réalisé par le gouvernement flamand et la ministre des Affaires intérieures, la nationaliste Liesbeth Homans. Deux études, l’une de la KUL, l’autre de l’Université de Liège, affirmaient que le gouvernement fédéral ne disposait que de deux options dans le dossier de l’intégration des CPAS aux administrations communales: leur laisser le choix ou la leur imposer. Mais, dans les deux cas, cela devait se faire dans tout le pays.
«Cela (la fusion commune/CPAS, NDLR) pourrait aussi favoriser davantage l’ingérence politique, voire pour certains services, comme les soins à domicile, une privatisation.» Jan Leroy, porte-parole du VVSG, l’équivalent flamand de l’Union des villes et communes
De son côté, Liesbeth Homans continue coûte que coûte de programmer la fin des CPAS flamands pour 2019. Les prérogatives des centres d’aide sociale devraient dès le 1er janvier 2019 avoir été reprises par les collèges et les administrations communales. Côté fédéral, le con...
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Fini les CPAS en Flandre? Le doute subsiste plus que jamais. Et dire qu’il y a un an, tout paraissait si simple: le gouvernement flamand avait tranché la question avec la création dès 2019 d’un comité social au sein des services communaux. Le fédéral n’avait plus qu’à donner sa bénédiction en modifiant la législation…
Le dossier d’intégration des CPAS en Flandre coince. En cause: deux avis juridiques qui ont depuis ruiné le travail réalisé par le gouvernement flamand et la ministre des Affaires intérieures, la nationaliste Liesbeth Homans. Deux études, l’une de la KUL, l’autre de l’Université de Liège, affirmaient que le gouvernement fédéral ne disposait que de deux options dans le dossier de l’intégration des CPAS aux administrations communales: leur laisser le choix ou la leur imposer. Mais, dans les deux cas, cela devait se faire dans tout le pays.
«Cela (la fusion commune/CPAS, NDLR) pourrait aussi favoriser davantage l’ingérence politique, voire pour certains services, comme les soins à domicile, une privatisation.» Jan Leroy, porte-parole du VVSG, l’équivalent flamand de l’Union des villes et communes
De son côté, Liesbeth Homans continue coûte que coûte de programmer la fin des CPAS flamands pour 2019. Les prérogatives des centres d’aide sociale devraient dès le 1er janvier 2019 avoir été reprises par les collèges et les administrations communales. Côté fédéral, le con...
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Le dossier d’intégration des CPAS en Flandre coince. En cause: deux avis juridiques qui ont depuis ruiné le travail réalisé par le gouvernement flamand et la ministre des Affaires intérieures, la nationaliste Liesbeth Homans. Deux études, l’une de la KUL, l’autre de l’Université de Liège, affirmaient que le gouvernement fédéral ne disposait que de deux options dans le dossier de l’intégration des CPAS aux administrations communales: leur laisser le choix ou la leur imposer. Mais, dans les deux cas, cela devait se faire dans tout le pays.
«Cela (la fusion commune/CPAS, NDLR) pourrait aussi favoriser davantage l’ingérence politique, voire pour certains services, comme les soins à domicile, une privatisation.» Jan Leroy, porte-parole du VVSG, l’équivalent flamand de l’Union des villes et communes
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Le dossier d’intégration des CPAS en Flandre coince. En cause: deux avis juridiques qui ont depuis ruiné le travail réalisé par le gouvernement flamand et la ministre des Affaires intérieures, la nationaliste Liesbeth Homans. Deux études, l’une de la KUL, l’autre de l’Université de Liège, affirmaient que le gouvernement fédéral ne disposait que de deux options dans le dossier de l’intégration des CPAS aux administrations communales: leur laisser le choix ou la leur imposer. Mais, dans les deux cas, cela devait se faire dans tout le pays.
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