Sans angélisme, nous voudrions garder des traces des «brèches» ouvertes durant le confinement.
Cette pandémie a bouleversé nos façons de vivre, de travailler, de consommer, a ébranlé nos relations sociales, notre rapport au monde.
Si une crise sociale sans précédent nous attend, la période est aussi propice à l’émergence de «possibles» qui surgissent au détour d’une rue ou dans un coin de notre tête.
On l’a vu.
Des mesures «sociales» exceptionnelles ont été mises en place par l’État (suspension des contrôles Grapa, moratoire sur les expulsions, etc.)
Des réseaux de solidarité se mettent en place.
Les voitures sont restées au garage, les vélos se multiplient dans les villes.
L’air est plus respirable.
Les photocopieuses tournent moins.
Les réveils ne sonnent plus tous à la même heure.
Dans son ouvrage, Résister au désastre, la philosophe belge Isabelle Stengers nous invite à observer «des possibles qui poussent un peu partout» pour «résister à ce qui présente comme normal», pour «guérir ensemble, les uns avec les autres».
Sans angélisme, nous voudrions garder des traces de ces «brèches» concrètes, ouvertes durant le confinement.
- Quelles bonnes idées mises en place et observées durant ce confinement souhaiteriez-vous voir perdurer sur le plan social, économique, environnemental, culturel, alimentaire, etc.?
- Quelle prise de conscience le confinement a-t-il éveillée en vous?
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