Depuis novembre, l’aide à la jeunesse a son conseil communautaire nouvelle version. Et une présidente fraîchement nominée : Isabelle Druitte. Rencontre.
Elle n’a appris sa nomination qu’au mois de novembre dernier, mais elle est déjà submergée par le travail. « Le CCAJ doit remettre des avis sur tous les textes qui vont être modifiés avant la fin de la législature… et il y en a beaucoup. »
Elle s’appelle Isabelle Druitte. C’est la nouvelle présidente du Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ). Celle qui succède à Guy De Clercq s’apprête à passer ses week-ends et ses soirées sur des avis qui, certes, ne changeront pas la face du monde, mais peut-être celle du secteur de l’aide à la jeunesse.
La nouvelle présidente avoue avoir été « surprise » qu’on lui propose de tenir les rênes du CCAJ pour une durée de six ans.
Surprise, car le secteur qu’elle représente, celui de la formation continuée des travailleurs de l’aide à la jeunesse, ne siégeait même pas dans les anciennes assemblées du Conseil communautaire. « Nous avons toujours été considérés comme faisant partie de l’aide à la jeunesse… tout en étant à l’écart. »
Mais la récente réforme du CCAJ est passée par là, ouvrant le quorum des représentants à de nouveaux secteurs. « Avec mes collègues d’autres centres de formation, nous avons proposé trois noms pour siéger au Conseil. Puis le cabinet de la ministre Évelyne ...
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Depuis novembre, l’aide à la jeunesse a son conseil communautaire nouvelle version. Et une présidente fraîchement nominée : Isabelle Druitte. Rencontre.
Elle n’a appris sa nomination qu’au mois de novembre dernier, mais elle est déjà submergée par le travail. « Le CCAJ doit remettre des avis sur tous les textes qui vont être modifiés avant la fin de la législature… et il y en a beaucoup. »
Elle s’appelle Isabelle Druitte. C’est la nouvelle présidente du Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ). Celle qui succède à Guy De Clercq s’apprête à passer ses week-ends et ses soirées sur des avis qui, certes, ne changeront pas la face du monde, mais peut-être celle du secteur de l’aide à la jeunesse.
La nouvelle présidente avoue avoir été « surprise » qu’on lui propose de tenir les rênes du CCAJ pour une durée de six ans.
Surprise, car le secteur qu’elle représente, celui de la formation continuée des travailleurs de l’aide à la jeunesse, ne siégeait même pas dans les anciennes assemblées du Conseil communautaire. « Nous avons toujours été considérés comme faisant partie de l’aide à la jeunesse… tout en étant à l’écart. »
Mais la récente réforme du CCAJ est passée par là, ouvrant le quorum des représentants à de nouveaux secteurs. « Avec mes collègues d’autres centres de formation, nous avons proposé trois noms pour siéger au Conseil. Puis le cabinet de la ministre Évelyne ...