Ils habitent parfois à plus de deux heures de route du Parc Maximilien. Dans des villages perdus du Hainaut, du Luxembourg belge ou dans des petites villes de Wallonie. « Ils », on devrait écrire « elles », car les hébergeurs wallons de la Plateforme citoyenne de soutien aux réfugiés sont très majoritairement des hébergeuses. Ce n’est donc pas tout à fait un hasard si ce sont des femmes qui ont répondu à notre demande de rencontre. Dominique, Anne-Catherine, Pascale (et Frédéric), Sylvie et Véronique nous ont ouvert leur porte.
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