On parle souvent d’une désaffection des jeunes pour la politique. Il n’y a rien d’original à dire qu’une frange de la jeunesse ne s’intéresse pas à la politique ou n’a que peu de connaissances sur ces questions (c’était déjà le cas en 1968…). Mais à côté, d’autres s’engagent corps et âme dans l’expérience militante, l’un dans une associations étudiante, l’autre dans un syndicat. Alors que les élections approchent à grands pas, nous nous sommes penchés sur l’engagement politique. Présidents des organisations de jeunesse politiques, ils nous éclairent sur les liens presque familiaux qui attachent ces structures à leurs partis « géniteurs » (lire Le pouvoir en mode mineur). Jeunes candidats se lançant à l’assaut des suffrages sur les listes, ils répondent, mi-fantaisistes mi-sérieux, à nos questions sur leur engagement dans un parti traditionnel (lire Jeunes à l’assaut des votes). De quoi convaincre les jeunes électeurs ? Ce dossier est le premier d’une série « élections » d’ores et déjà aux menus des prochains numéros.
Petite enfance / Jeunesse
Jeunes à l’école de la politique
Il n’y a rien d’original à dire qu’une frange de la jeunesse ne s’intéresse pas à la politique ou n’a que peu de connaissances sur ces questions (c’était déjà le cas en 1968…). Mais à côté, d’autres s’engagent corps et âme dans l’expérience militante.
Marinette Mormont
Journaliste (social, santé, logement)
Pssstt, visiteur, visiteuse du site d'Alter Échos !
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