Mardi 15 avril, le Cabinet du Ministre régional bruxellois du Logement Eric Tomas1, vient de terminer la rédaction d’un projet d’ordonnance et d’un avant-projet d’arrêtéd’application concernant la création d’un Fonds Régional de Garanties Locatives. Le Ministre doit encore donner son accord sur les textes qui seront rendus publics dans le courant dumois de mai.
Tous les partenaires gouvernementaux se sont déjà mis d’accord pour la mise en place d’un fonds de garanties locatives et 25 millions et demi de francs ont étédébloqués à cette fin pour l’année 1997.
L’ensemble des acteurs de terrain sera concerté lors de la rédaction finale de l’arrêté d’application.
Le Fonds Régional de Garanties Locatives devrait être en mesure de fonctionner dès après les vacances d’été.
1 Av. des Arts 19 A/D à 1000 Bruxelles, tél. 02/220 55 11.
Archives
« Fonds régional de garanties locatives : bientôt une ordonance bruxelloise «
Alter Échos
21-04-1997
Alter Échos
Pssstt, visiteur, visiteuse du site d'Alter Échos !
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web.
Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus,
notamment ceux en lien avec le Covid-19, pour le partage, pour l'intérêt qu'ils représentent pour la collectivité,
et pour répondre à notre mission d'éducation permanente.
Mais produire une information critique de qualité a un coût. Soutenez-nous ! Abonnez-vous !
Et parlez-en autour de vous.
Profitez de notre offre découverte 19€ pour 3 mois (accès web aux contenus/archives en ligne + édition papier)
Sur le même sujet
-
Petite enfance / Jeunesse
Handicap: des crèches «all inclusive»?
-
Vu d'Europe
Dormir au bureau
-
Environnement/territoire
Occuper et gentrifier
-
Culture
Jeunes et culture: désacraliser
pour mieux rapprocher
Les plus consultés
- «Derrière les adultes à la rue, il y a des enfants qui trinquent.»
- WhatsApp à l’école: qui a eu cette idée folle?
- Bouillon de lectures
- Communautés d’énergie,
menacées par les entreprises? - Occuper et gentrifier
- La culture au centre
- «Des étudiants s’acharnent alors que l’on sait qu’ils n’y arriveront pas»