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Quelles réponses fiscales à l'augmentation du coût de l'énergie ?
À rebours des solutions visant à réduire le coût de l’énergie, afin de la rendre accessible aux ménages les moins aisés (via par exemple uneréduction de la TVA), de nombreux acteurs – depuis les organisations environnementales jusqu’à la Commission européenne – plaident au contraire en faveur d’unbasculement de la fiscalité, pour rendre plus coûteux le prix des produits polluants et donc de l’énergie, et réduire de manière compensatoire la fiscalitésur le travail.
Consommer moins pour un même confort : expériences pilotes
Tant en Wallonie qu’en Région bruxelloise, des expériences pilotes ont été menées en matière de guidance sociale énergétique (GSE)auprès de locataires de logements sociaux ou assimilés. Divers enseignements en ont été tirés. Entre autres, que la GSE n’est pas tout, qu’il faut aussi agir surles bâtiments.
Le logement social se met au vert
Réduire sa facture énergétique à quelques euros par mois ? Ce n’est plus une utopie mais le pari des constructions passives. Un pari que lessociétés de logements sociaux commencent, tout doucement, à adopter.
Économies d’énergie, économie sociale : même combat !
La recherche d’économies d’énergie, créatrice d’emplois ? Ce n’est pas un discours mais une réalité de terrain pour de nombreusesentreprises d’économie sociale que nous avons rencontrées.
Christophe Barbieux (interview) : « L'objectif est de réduire la consommation, pas le montant de la facture »
S’il faut s’en tenir à ses diplômes, Christophe Barbieux1 est assistant social, enseignant et licencié en sciences du travail. Dans la pratique, il atravaillé pour le projet pilote « Habiter malin, charges en moins » porté par la Société wallonne du logement (SWL) depuis 2003 et qui se terminera logiquementcet été. Depuis un an, il a rejoint Bruxelles-Environnement (IBGE), où il suit les expériences pilotes de guidance sociale énergétique (GSE) menées encollaboration avec des sociétés de logements sociaux et des CPAS bruxellois. Ces expériences ont permis de mettre au point une méthodologie qui sera bientôtdiffusée auprès des travailleurs sociaux bruxellois, entre autres via une formation.
Thibaud De Menten (interview) : « La libéralisation n’est pas une bonne chose pour les ménages »
Économiste de formation, Thibaud De Menten travaille depuis sept ans sur les questions relatives à l’énergie. Il s’y est d’abord intéressé en partantde la question environnementale chez Inter-Environnement Wallonie. Actif au sein du Rwadé (Réseau wallon pour l’accès durable à l’énergie)1depuis sa création en octobre 2005, il observe depuis un an les difficultés relatives aux paiements de factures énergétiques.
Ne dites plus "Plan de prévention et de proximité" ; dites "Plan de cohésion sociale"
Après avoir été évalués et maintes discussions inter-cabinets plus tard, les Plans de prévention et de proximité (PPP) vont êtreréformés en Plans de cohésion sociale (PCS). Il s’agit de recentrer l’action des communes de manière à répondre aux besoins fondamentaux des citoyenswallons, qu’on peut retrouver entre autres dans l’article 23 de la Constitution. Sur le terrain, on perçoit cette réforme sans trop d’inquiétude, estimant que les projets mis enplace jusqu’ici s’inscrivent dans la prolongation des politiques.
Les logements sociaux, un modèle à dépasser
Dernièrement, les éditions Larcier et la Haute École Francisco Ferrer ont publié un ouvrage faisant le point sur les logements sociaux1. Regroupant plusieursplumes – et non des moindres –, ce livre intéressera toute personne préoccupée par la crise du logement et les enjeux liés au parc locatif social.
L’Espace fraternel de logement à Liège presque sauvé ?
Le service de Sécurité et salubrité a inspecté, le 7 février dernier, les travaux de mise en conformité de l’Espace fraternel1 delogement de Germain Dufour. La Ville réclame « d’urgence » un rapport agréé pour l’électricité et quatre lits sur les vingt doivent êtreenlevés. La visite émane du rapport d’octobre qui a suivi un premier contrôle en septembre – après une dénonciation.
Le Groupe d'animation de la Basse-Sambre aujourd'hui
Le Groupe d’animation de la Basse-Sambre ou Gabs1 fêtera bientôt ses quarante ans. Ses actions sont diverses, allant de l’éducation permanente à l’insertionsocioprofessionnelle, en passant par la prévention, l’insertion sociale, le logement ou le soutien à la parentalité. Il est actif à Auvelais, Jemeppe-sur-Sambre,Sambreville, Sombreffe, Spy ou Tamines, pour ne citer que ces lieux-là.
Médiateurs de terrain en matière de pauvreté : un colloque évalue
Des médiateurs de terrain, ayant connu des situations d’extrême pauvreté, aident à faire le lien entre personnes précarisées et services publics. Cetteexpérience, unique en Europe, est encore actuellement à l’état de projet pilote1. Un peu plus de deux ans après son lancement, un colloque faisait lepoint ce 11 février sur les apports et les écueils de ce nouveau métier.
L'autonomisation en débat au Centre bruxellois de coordination sociopolitique
« Autonomisation et responsabilisation des individus : qu’est-ce qui ne va pas ? » À en juger par le public nombreux qui assistait à la dernière « rencontreirisée » du CBCS (Centre bruxellois de coordination sociopolitique), ce 11 février, la question faisait écho aux préoccupations de nombreux travailleurs du champsocial bruxellois.