Economie
Coopératives: un petit flyer qui coûte cher
Depuis le 17 mai 2014, pour accueillir un coopérateur avec plus de 5.000 euros de parts, les coopératives CNC (Conseil national de la coopération) doivent publier un prospectus validé par la FSMA (Financial Services and Markets Authority). Une «petite» formalité qui peut leur coûter cher…
Du Sud au Nord, encore du crédit pour les microprêts?
Le microcrédit se balade dans les travées des pays en développement depuis quarante ans. Quelle évolution pour quelles leçons?
Microcrédit: sortez accompagné
Imaginé par l’économiste bangladais Muhammad Yunus, le microcrédit se balade dans les travées des pays en développement depuis une quarantaine d’années. Du Sud au Nord, aujourd’hui, il a rencontré le succès dans nos contrées. En Belgique, Crédal fut le premier à se lancer dans l’aventure. D’autres acteurs ont depuis fait leur entrée en scène. En 2011, le milieu belge du microcrédit a observé un brin crispé l’arrivée de microStart, un acteur privé adossé à la banque BNP Paribas. Tsunami culturel dans l’insertion sociale ou naufrage garanti pour les plus démunis, voici le point sur le microcrédit.
Le microcrédit: sortez accompagné
L’idée est séduisante. Pour lutter contre la pauvreté, prêtons aux pauvres. Fini l’assistanat. L’indigent se prend en main, montre de quoi il est capable si on lui en donne les moyens. Et quelques success stories modestes mais réelles achèvent le récit: madame Couture a créé son atelier de couture, monsieur Compte s’installe comme comptable. Le microcrédit prend la vague. Tsunami culturel dans l’insertion sociale ou naufrage garanti pour les plus démunis, voici le point sur le microcrédit.
Premiers pas dans le micro-entrepreneuriat
Une idée d’affaires, mais par où commencer? Vaut-il mieux se diriger vers un microprêteur ou un guichet d’économie locale (GEL)? Comment se passent les premiers contacts? Quelles informations sont-elles données? Les candidats sont-ils invités à rapidement passer à l’acte? Premiers pas dans le monde de l’entrepreneuriat avec une visite chez microStart et Village Partenaire.
Un peu de tout (et n’importe quoi)
Le microcrédit professionnel n’est pas l’apanage de microStart et de Crédal en Belgique francophone. D’autres structures naissent en développant certaines «particularités».
Microcrédit: l’Europe (est) prête
La microfinance, l’Union européenne en est fan! Dans le cadre du «Employment and social innovation (EaSI) programme», elle a mis sur pied le «Progress Microfinance», soit 200 millions d’euros pour soutenir des fournisseurs de microcrédits.
Alex Houtart, BNP Paribas: «Il n’y a pas lieu d’agir en termes de compétition»
Alex Houtart est le directeur CSR (Corporate social responsability) de BNP Paribas. Par ailleurs, il est également membre du conseil d’administration de microStart.
Un futur « converti » au sein de Finance Watch?
Créée pour contrecarrer les lobbies des institutions financières, Finance Watch s’est forgée une belle réputation à Bruxelles. Mais l’ONG, qui a vu son principal dirigeant démissionner, entretient le doute sur les nouveaux candidats au poste. Et sur son processus de recrutement.
Flandre: l’austérité pour unique horizon
Le monde associatif et syndical flamand est sonné. Certes, la couleur avait été annoncée dès la constitution du gouvernement de Geert Bourgeois: leur avenir serait sombre, plombé par l’austérité. Mais ce ne sont pas seulement les économies budgétaires qui créent le malaise. C’est aussi cette autre conception du social, de la culture telle qu’elle émerge dans les projets du nouveau gouvernement flamand.
L’Etat providence est mort, vive le crowdfunding !
Le projet de crowdfunding Europe Refresh prépare sa deuxième édition, le we du 3-4-5 octobre, aux Halles de Schaerbeek. Il s’agit d’un salon de découverte d’exposants venant présenter un projet à au grand public (de film, de revue, de stylisme…), un projet encore à faire puisque non encore financé.
La Suède, prête à « travailler moins pour gagner autant » ?
À des années lumières de la zone euro, la mairie de Göteborg, en Suède, pourrait bien devenir le détonateur d’une nouvelle vision du travail. Son pari : travailler moins, en gardant un niveau de vie élevé. Un délire suranné ? Pas sûr. De premières expériences, menées dès 2002, prouvent que c’est possible.