Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale

Edito

Les journalistes d’Alter Échos en prison!

Pendant un an, quatre journalistes d’Alter Échos ont passé une bonne partie de leurs week-ends en prison. Et ce qui expliquait leur présence entre les quatre murs de la «maison d’arrêt et de peine» de Mons avait un rapport avec le journalisme. On vous rassure, aucun de nos collaborateurs [...]

Donner de la voix

C’était il y a bientôt 20 ans. Le 22 septembre 1998, Semira Adamu, jeune Nigériane, mourait étouffée par des gendarmes belges lors de son expulsion forcée. Vingt ans plus tard, c’est le décès de Mawda Shawri, Kurde irakienne de 2 ans, touchée par une balle policière, qui suscite l’indignation. Tout comme la détention, depuis le 14 août, de quatre enfants au 127bis, ce même centre où Semira Adama fut plusieurs fois enfermée. Que nous racontent ces drames, d’hier et aujourd’hui?…

© pixabay.com

Le social est partout, même en librairie

Vingt ans et 464 numéros. C’est ce qu’il aura fallu à Alter Échos pour faire son entrée en librairie. Notre magazine aura pris son temps. Ce qui n’a rien d’étonnant. Depuis sa création en 1998, Alter Échos a toujours [...]

Mue printanière

Il mesure 26 cm de haut et pèse dans les 200 grammes. L’équipe de l’Agence Alter le couve avec amour depuis des mois. C’est avec fierté que nous vous présentons celle que nous avons appelée entre nous «la bête»: la [...]

L'équipe de l'Agence Alter 26-04-2018 Alter Échos n° 463

New look

Nous sommes particulièrement ravis de vous surprendre avec cette annonce… Dès le prochain numéro, vous aurez l’occasion de nous lire dans une maquette flambant neuve,revisitée de A à Z. La périodicité a aussi été repensée pour mieux articuler le parcours de l’information entre le papier et le site, dédié plus spécifiquement au suivi de l’actualité quotidienne.

Notre labo d’info

Depuis 2014, l’Agence Alter a ouvert ses pages à des citoyens et citoyennes qui n’ont pas naturellement accès aux tribunes médiatiques et à des étudiants intéressés par les questions sociales. Toutes et tous ont pris la plume, le crayon, [...]

Des chiffres et des sentiments

Dans une vidéo qui connut en son temps son petit succès sur la Toile, un humoriste canadien démontrait par A plus B comment vos chances de gagner le pactole au Lotto étaient dix fois plus importantes que le risque [...]

SANDRINE WARSZTACKI 27-02-2018 Alter Échos n° 460

Le «secteur» souhaite-t-il cadenasser l’information?

La pratique se répand comme une tache d’huile depuis deux ou trois ans. Interviewées pour les besoins d’un article, de plus en plus de « structures » du non-marchand ou du secteur associatif demandent à pouvoir relire leurs propos avant parution. Ce qui n’est pas sans poser question.

Lutte contre le radicalisme: la sécurité au prix du social

18 novembre 2015, Paris est en deuil après les attentats qui ont frappé Charlie. À Molenbeek-Saint-Jean, des caméras du monde entier ont débarqué pour filmer la commune où a grandi Salah Abdeslam. Cette présence médiatique rend les jeunes du [...]

Lutte contre le radicalisme, la sécurité au prix du social

Comment les politiques de lutte contre le radicalisme ont-elles impacté le travail social? Quelles sont les initiatives qui permettent de lutter efficacement contre ce phénomène complexe? Comment concilier sécurité et exigences déontologiques? Quid de la formation des travailleurs? Que faire des détenus condamnés pour terrorisme? Pour tenter de répondre à ces questions, Alter Échos vous propose une compilation des articles publiés dans nos colonnes ces deux dernières années. Un hors série à feuilleter gratuitement sur notre site.

13-12-2017

On vous met au défi

Une bonne partie du secteur associatif et de l’économie sociale tend depuis quelques années à réorienter ses pratiques à l’aune d’un management inspiré du privé, d’une professionnalisation, d’une plus grande «modernité». Et si, dans l’esprit des pouvoirs publics, cette modernité ou cette professionnalisation signifiaient autre chose? Et s’il s’agissait pour eux de créer les conditions de leur désengagement progressif du financement du secteur social?

Le sexe ou le CPAS?

«Je trouve ça indigne, moi, d’aller mendier de l’argent au CPAS. Au moins, moi, je vends quelque chose, je donne un service.» Ce témoignage pourrait sortir de la bouche d’un entrepreneur très libéral, un peu remonté sur la sécurité sociale à l’heure de l’apéro. Plus inquiétant, la citation émane d’un jeune qui a choisi de vendre ses charmes pour financer ses études.