Participation au travail : le défi horizontal

Nouveau mode de gestion en vogue, «l’entreprise libérée» fait son apparition dans le secteur public. Une forme d’organisation qui se veut favorable en ce qui concerne tant l’efficacité que le bien-être au travail. Ce dont doutent les syndicats.
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La hiérarchie bête et méchante aurait-elle vécu? Peut-on libérer nos entreprises? Est-on plus heureux dans ces fonctionnements horizontaux?

À Roubaix, dans le nord de la France, Crouzet est une entreprise dite «libérée». On y prône l’autonomie des salariés et la souplesse de l’organisation. Reportage.

L’holacratie est un mode d’organisation du travail qui veut en finir avec la hiérarchie. Si l’holacratie suscite beaucoup d’intérêt, peu d’entreprises ont franchi le cap du changement. Ce qui n’empêche pas Holacracy One de vendre ses licences à prix d’or.

Implantée à Beauraing, petite ville du Namurois, La Calestienne est emblématique du tournant pris par l’économie sociale, tant dans la nature de ses activités que dans son fonctionnement interne. À la tête de cette EFT, Michel Thomas, homme providentiel et, demain peut-être, grand industriel.

Le Centre interfédéral pour l’égalité des chances cessera bientôt d’être «le Centre». Il va perdre son nom et se… décentraliser en poursuivant le virage régional entamé en 2012. Cette année sera celle de l’ancrage wallon. Patrick Charlier, directeur faisant fonction du Centre, nous explique comment le Centre espère devenir un acteur incontournable d’une politique de la diversité au sud du pays.

Rotterdam ne se contente pas d’être le lieu de naissance de la musique gabber. La ville a aussi décidé de mettre ses allocataires sociaux de longue durée à contribution. La «Taskforce Tegenprestaties» s’en charge.

Le gouvernement fédéral prévoyait de faire travailler les chômeurs par le biais de services à la collectivité. Aujourd’hui, le projet semble avoir du plomb dans l’aile.

La Ville de Rotterdam a décidé d’activer ses allocataires sociaux par le biais de deux programmes. L’un d’eux se nomme Werkloont – «Le travail paie». Les allocataires, eux, n’ont pas vraiment le choix.

Quelques heures en compagnie d’inspecteurs du travail, dans un chantier bruxellois, pour mieux comprendre les méandres du détachement de travailleurs.

Dans son numéro 399, l’article «Maribel social, stop ou encore?» a suscité une réaction de l’Union des entreprises à profit social.