Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale

Justice

© Flickrcc Apionid

Prisons : le téléphone sonne

Depuis le mois de juillet, la ligne téléphonique Info’Prison recueille les témoignages de détenus et de leurs proches. Un espace de liberté alors que les établissements pénitentiaires se déconfinent avec peine.

Violences policières : pire qu’hier, mieux que demain ?

Vingt-cinq ans qu’Alter Échos explore les politiques sociales en Wallonie et à Bruxelles. Chaque mois, notre revue a décidé de replonger dans ses archives. Les violences policières ont occupé l’actualité ces derniers mois, de Minneapolis à Anderlecht en passant par Blankenberge. Ce phénomène est loin d’être neuf.

La fièvre des prisons

Surpopulation, manque de personnel, manque de soins… En temps normal, les prisons sont déjà au bord de la rupture. Alors, quand s’ajoute le coronavirus, la situation ne peut que devenir explosive avec des détenus confinés depuis plusieurs semaines dans [...]

Commissions de surveillance : le contrôle des prisons évolue avec peine

Les commissions de surveillance ont pour mission d’exercer un contrôle indépendant sur les prisons et le traitement des détenus. En 2016, elles faisaient l’objet d’une réforme législative, qui a répondu à certaines attentes mais sans satisfaire aux exigences internationales.

Fanny Declercq 26-03-2020 Alter Échos n° 482

Le Passage. Pour sortir de prison et s’en sortir

Comment éviter que la libération d’un détenu ne soit qu’un aller-retour vers la prison? Pour les fondateurs du «Passage pour sortants de prison» à Namur, le chaînon manquant à la réinsertion, c’est la mise au logement immédiate. Ce groupe [...]

Droits sans toit, pour une justice accessible aux plus démunis

Au cœur de la gare Centrale, la permanence d’aide juridique Droits sans toit accueille les personnes précarisées, parfois accompagnées de travailleurs de rue. L’équipe d’avocats propose gratuitement du premier conseil. Pour rendre visibles des droits souvent ignorés et retisser les liens rompus entre justice et grande pauvreté.

Des familles touchées par la peine

Une incarcération n’impacte pas seulement un détenu, mais aussi sa famille et ses proches. Le maintien des liens familiaux constitue d’ailleurs l’un des facteurs essentiels pour la réinsertion de la personne détenue. Mais existe-t-il un droit au maintien des [...]

07-01-2020

Prison : à poil, tes droits !

Au mieux désagréables, au pire dégradantes, les fouilles à nu en prison sont montrées du doigt par une enquête du Médiateur fédéral. Côté directions et syndicats, on grince des dents, regrettant que la question ne soit pas analysée dans [...]

24 heures avec… le Justibus

Rouler pour l’accès aux droits. C’est l’objectif du Justibus. Depuis la mi-octobre, il parcourt les marchés de la capitale pour fournir une aide juridique gratuite aux plus précaires. Nous y avons suivi une permanence au marché de Molenbeek.

Gwenola Ricordeau : «La punition de certains auteurs de féminicides n’a pas fait baisser leur nombre»

Avec «Pour elles toutes – Femmes contre la prison» (Lux Éditeur, 2019), Gwenola Ricordeau, professeure assistante en justice criminelle à la California State University, réalise un petit miracle, celui de faire converger luttes féministes et luttes pour l’abolition du système pénal et de la prison, deux mouvements souvent présentés comme antagonistes. Son dernier essai explore les formes de protection que les femmes peuvent attendre ou pas du système pénal, en mettant en lumière les manières dont celui-ci affecte leur existence, qu’elles soient incarcérées ou qu’elles aient des proches en pris

Smalltown Cops

Ils ou elles sont membres de la police, lesbiennes, transgenres. Depuis 2012, les «Rainbow Cops Belgium LGBT Police» ont mis les questions d’orientation sexuelle ou d’identité de genre à l’agenda des forces de l’ordre. Avec une mission: faire bouger [...]

30-10-2019

G4S pour réinsérer des détenus

À Malines, une maison de transition accueillera prochainement une quinzaine de détenus pour les réinsérer en vue de leur libération. Pour les encadrer, ils seront suivis 7j/7 par la société privée G4S. Un choix qui suscite le malaise auprès des associations et des criminologues.