Parcours d'accueil et nationalité : la collision

Que faire lorsqu’on est migrant, hautement qualifié et que l’on ne possède pas d’équivalence de diplôme ? Exemple avec Rosa, architecte, qui fait des ménages.

Quelques centaines de Roms en grande précarité à Bruxelles. Le point sur la situation… et sur les solutions

Mariages forcés et protection des femmes migrantes au menu du prochain Pan

Les contours du futur parcours d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles se précisent. La volonté politique est de rendre l’apprentissage de la langue obligatoire à terme. Avec quels moyens ?

Les migrantes latino-américaines constituent une exception parmi les migrants. Contrairement aux autres, elles ne s’installent ni dans les « mauvais » quartiers, ni dans des logements précaires. Cela tient à plusieurs raisons : elles sont seules et certaines essaient de s’éloigner de la communauté musulmane de Belgique qui, à cause des médias et des rumeurs, les terrorise.

Avec les échauffourées de Molenbeek, le débat sur le caractère obligatoire du parcours d’intégration s’est invité dans la campagne électorale.Ambiance.

Les chiffres contredisent les prédictions des populistes néerlandais.

Quand on pense aux migrations, on imagine souvent que c’est l’homme qui part en premier, que c’est lui qui déblaye le terrain avant d’amener le reste de sa famille… Mais parfois, c’est la femme.

A Malmedy, Couleur Café réinvente l’aide aux sans-papiers en zones semi-rurales : des familles accueillent chez elles des personnes venues de tous les horizons.

Le gouvernement Di Rupo Ier est sur les rails. Et avec lui sa réforme sur l’asile et l’immigration. Explication et parole aux acteurs de terrain.

Enquête de terrain auprès de jeunes exilés. L’ethnicisation de Bruxelles est dénoncée ainsi que les logiques d’exclusion qui y aboutissent.