Santé mentale : une thérapie par le lien social

Les plans hiver ou « grand froid » démarrent, mois de novembre oblige. Des consultations médicales supplémentaires sont mises sur pied.

Les plans hiver ou « grand froid » démarrent, mois de novembre oblige. Des consultations médicales supplémentaires sont mises sur pied.

Entre l’augmentation et la diversification des besoins, et un financement qui ne suit pas, les infirmières à domicile sont mises sous pression.

Les maladies non transmissibles causées par la surnutrition font autant de victimes que la dénutrition1. L’OMS va jusqu’à parler d’une épidémiede l’obésité. Or l’obésité touche davantage les personnes en situation de précarité. Mais quand s’enchevêtrent alimentation etprécarité, on s’attaque à une question aux contours plus complexes qu’il n’en a l’air.

Depuis les années 1960, le monde a vécu une révolution alimentaire sans précédent. Grâce à l’agriculture intensive et à l’industrialisation de la transformation, l’accès à l’alimentation s’est fortement démocratisé.

Des associations bruxelloises rédigent un mémorandum pour dénoncer la difficulté d’accéder à l’aide médicale urgente.

Depuis 2010, le relais social namurois a mis sur pied un projet « d’équipes mobiles de rue » inter-services pour aller à la rencontre des grandsprécarisés.

Fadila Laanan propose de réformer la promotion de la santé. Un projet qui provoque des inquiétudes sur le terrain.

Alors que la proportion de détenus consommateurs de drogues est considérable, quelle est la place réservée au sevrage ?

Dans le domaine de la santé mentale, les réflexions constructives sur l’importance de l’outil audiovisuel n’en finissent pas de se développer.

Les Sylos, ou systèmes locaux de santé, visent à améliorer la coordination entre l’hôpital et les médecins généralistes. Lancée à Malmedy en 1999, une expérience pilote continue de porter ses fruits.