Santé
24 heures avec… Mobivax, vacciner les plus précaires
À Bruxelles, Mobivax – un consortium regroupant Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, le Samu social et la Croix-Rouge de Belgique – vaccine les plus vulnérables: les personnes sans abri, les personnes sans titre de séjour, les migrants en transit… L’équipe mobile part à la rencontre de celles et ceux que la société préfère souvent oublier, en se rendant dans les centres d’hébergement, les squats et les centres de jour.
Foot, hasard et dépendance
Devenus indissociables des grandes compétitions sportives, les paris en ligne pourraient atteindre des chiffres record à l’occasion de l’Euro 2021. Ce marché en constante expansion et qui cible particulièrement les jeunes crée pourtant des situations de dépendance problématiques.
L’accouchement, ce moment qui fragilise les femmes, surtout les plus précarisées
Remarques humiliantes, accouchements provoqués pour le confort du gynécologue… les violences obstétricales sont une réalité dénoncée par un nombre croissant de femmes. Le Sénat a adopté le 23 avril la demande d’un rapport d’information sur ces violences et sur le droit à l’autodétermination des femmes sur leur corps. Rencontre avec Hélène Ryckmans, qui est à l’origine de cette démarche avec trois autres sénatrices Écolo-Groen.
Covid-19 : un petit coup de téléphone, ça ne peut pas faire de mal
Plusieurs mutualités ont lancé un projet visant à contacter systématiquement, par téléphone, certains de leurs bénéficiaires âgés de plus de 65 ans. But de l’opération: s’assurer que tout va bien après 18 mois de pandémie…
Pénurie de médecins : une affaire de campagne ?
Le nombre de communes en pénurie de généralistes n’a cessé d’augmenter d’année en année en Wallonie. Une pénurie qui pourrait s’accentuer avec la crise sanitaire actuelle, même s’il y a des signes encourageants à l’horizon.
Bruxelles: agir local pour une santé globale
Le territoire est une grille de lecture pour comprendre les inégalités de santé. Il est aussi un outil pour mieux en organiser les politiques. L’approche territoriale de la santé, portée de longue date par certains acteurs de terrain, semble connaître, à Bruxelles, une montée en puissance.
Trempoline : se poser pour pouvoir rebondir dans la vie
Fondé en 1985 par des professionnels de l’aide aux toxicomanes, Trempoline propose dans la région de Charleroi un programme thérapeutique qui conduit les personnes souffrant d’assuétudes à se réinsérer dans la société. Ce sont majoritairement des hommes, souvent ayant connu la prison. Depuis trois décennies, l’institution, basée sur la communauté et la paire-aidance, n’a cessé de développer son offre de services pour répondre aux besoins des usagers de drogues comme de leurs proches.
Une pandémie en chiffres
Les données sont-elles nécessaires à l’information ? Comment comprendre ces chiffres publiés quotidiennement ? Qui fabrique les données de la crise ? Enquête sur les chiffres de la pandémie : de leur création à leur compréhension, en passant par leur diffusion.
S’aider entre pairs pour reprendre le contrôle de sa vie
La paire-aidance a le vent en poupe en Belgique francophone. Les formations se multiplient pour ancrer dans les institutions cette pratique qui met l’expérience de la souffrance et du rétablissement au cœur du travail social. Mais les pairs-aidants cherchent aussi du soutien. Un coup de pouce sous la forme d’un statut serait le bienvenu.
La Gazette. Chroniques d’une maison de repos
Les récits de trois femmes, parfois négligées, souvent oubliées, le temps d’une visite dans une maison de repos bruxelloise. Une bande dessinée de Elsa Pécot, Margot Englebert et Juliane Remy.
Annick Hautem, travailleuse sociale hospitalière
Travailleuse sociale au CHU Saint-Pierre, Annick Hautem accompagne et conseille les patients dans leurs démarches d’accès aux soins, avant, pendant et après leur hospitalisation. Alter Échos lui a emboîté le pas, le temps d’une journée, au cœur de l’unité 406.
La tuberculose, une maladie sociale
En Belgique, environ 1.000 cas de tuberculose sont diagnostiqués chaque année, parmi ceux-ci, on compte surtout des personnes sans abri et des exilés. Au CHU Saint-Pierre, celles et ceux qui soignent les tuberculeux au quotidien le répètent haut et fort, cette maladie n’a rien d’un reliquat du passé, mais est aujourd’hui synonyme de précarité.