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Regard critique · Justice sociale

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À rebrousse-poil

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

30-09-2024

Devenir autre

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

30-09-2024

Le ressac

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

30-09-2024

Lame de fond

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

30-09-2024

CPVS: des victimes dans l’œil du cyclone

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

30-09-2024

Remplir leur sac à dos

Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.

31-07-2024

Faire école et faire maison  

Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.

31-07-2024

Aux confins de la société

Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.

31-07-2024

Apprendre à commander un dürüm

Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.

31-07-2024

Tchaï, un parachute pour jeunes déscolarisés

Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.

31-07-2024

Les mordus de La Traversée

Impulsée par l’association Lire et Écrire Luxembourg, la collection La Traversée propose des romans de qualité accessibles à des adultes éloignés de la lecture. Bien plus qu’une simple collection, ce projet rassemble auteurs et apprenants en alphabétisation autour du livre, de l’écriture et de la lecture. Alors que 10% de la population adulte en Belgique francophone est analphabète ou illettrée, La Traversée invite à désacraliser le monde de la littérature.

03-07-2024

Désacraliser la littérature

Impulsée par l’association Lire et Écrire Luxembourg, la collection La Traversée propose des romans de qualité accessibles à des adultes éloignés de la lecture. Bien plus qu’une simple collection, ce projet rassemble auteurs et apprenants en alphabétisation autour du livre, de l’écriture et de la lecture. Alors que 10% de la population adulte en Belgique francophone est analphabète ou illettrée, La Traversée invite à désacraliser le monde de la littérature.

03-07-2024