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Vivre sa vie
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
S’engager pour les autres
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
Un espace safe et bienveillant
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
Là où naissent les arc-en-ciels : le parcours des migrants LGBTQIA + en Wallonie
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de parole pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
Les blessures se logent à l’endroit de nos silences
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
L’arbre de vie
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
S’ancrer et s’ouvrir aux apprentissages
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
Trouver les réponses derrière les non-dits
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
Il était une fois mon identité multiple
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
Pas près de fermer boutique
Garantir un logement décent pour toutes et tous : c’est une mission pour Les Compagnons Dépanneurs. Petits travaux en intérieur et en extérieur, déménagements, fourniture de meubles… L’association se démène pour soulager celles et ceux qui sont contraints de vivre dans des habitations vétustes, voire insalubres. Fondée en 1970, sa raison d’être reste pourtant d’actualité. Peut-être même encore plus qu’hier. Plongée à Frameries, dans l’une des neuf sections régionales de l’ASBL.
Une famille choisie
Garantir un logement décent pour toutes et tous : c’est une mission pour Les Compagnons Dépanneurs. Petits travaux en intérieur et en extérieur, déménagements, fourniture de meubles… L’association se démène pour soulager celles et ceux qui sont contraints de vivre dans des habitations vétustes, voire insalubres. Fondée en 1970, sa raison d’être reste pourtant d’actualité. Peut-être même encore plus qu’hier. Plongée à Frameries, dans l’une des neuf sections régionales de l’ASBL.
Du bonheur de faire ensemble
Garantir un logement décent pour toutes et tous : c’est une mission pour Les Compagnons Dépanneurs. Petits travaux en intérieur et en extérieur, déménagements, fourniture de meubles… L’association se démène pour soulager celles et ceux qui sont contraints de vivre dans des habitations vétustes, voire insalubres. Fondée en 1970, sa raison d’être reste pourtant d’actualité. Peut-être même encore plus qu’hier. Plongée à Frameries, dans l’une des neuf sections régionales de l’ASBL.