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À rebrousse-poil
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Devenir autre
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Le ressac
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Lame de fond
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
CPVS: des victimes dans l’œil du cyclone
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Remplir leur sac à dos
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.
Faire école et faire maison
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.
Aux confins de la société
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.
Apprendre à commander un dürüm
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.
Tchaï, un parachute pour jeunes déscolarisés
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.
Les mordus de La Traversée
Impulsée par l’association Lire et Écrire Luxembourg, la collection La Traversée propose des romans de qualité accessibles à des adultes éloignés de la lecture. Bien plus qu’une simple collection, ce projet rassemble auteurs et apprenants en alphabétisation autour du livre, de l’écriture et de la lecture. Alors que 10% de la population adulte en Belgique francophone est analphabète ou illettrée, La Traversée invite à désacraliser le monde de la littérature.
Désacraliser la littérature
Impulsée par l’association Lire et Écrire Luxembourg, la collection La Traversée propose des romans de qualité accessibles à des adultes éloignés de la lecture. Bien plus qu’une simple collection, ce projet rassemble auteurs et apprenants en alphabétisation autour du livre, de l’écriture et de la lecture. Alors que 10% de la population adulte en Belgique francophone est analphabète ou illettrée, La Traversée invite à désacraliser le monde de la littérature.