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Au petit bonheur la chance
Garantir un logement décent pour toutes et tous : c’est une mission pour Les Compagnons Dépanneurs. Petits travaux en intérieur et en extérieur, déménagements, fourniture de meubles… L’association se démène pour soulager celles et ceux qui sont contraints de vivre dans des habitations vétustes, voire insalubres. Fondée en 1970, sa raison d’être reste pourtant d’actualité. Peut-être même encore plus qu’hier. Plongée à Frameries, dans l’une des neuf sections régionales de l’ASBL.
Des compagnons pour la vie
Des compagnons pour la vie
Garantir un logement décent pour toutes et tous : c’est une mission pour Les Compagnons Dépanneurs. Petits travaux en intérieur et en extérieur, déménagements, fourniture de meubles… L’association se démène pour soulager celles et ceux qui sont contraints de vivre dans des habitations vétustes, voire insalubres. Fondée en 1970, sa raison d’être reste pourtant d’actualité. Peut-être même encore plus qu’hier. Plongée à Frameries, dans l’une des neuf sections régionales de l’ASBL.
Des jeunes démunis
Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…
Une maison à soi
Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…
Une remise en question
Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…
Aidants proches, une jeunesse entre parenthèses
Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…
À rebrousse-poil
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Devenir autre
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Le ressac
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Lame de fond
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
CPVS: des victimes dans l’œil du cyclone
Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.
Remplir leur sac à dos
Fondée en 2018, Tchaï est assez unique en Belgique. Elle a vu le jour suite à un constat émanant de travailleurs sociaux : il n’existe pas de structure pédagogique et psycho-sociale pour jeunes en exil peu – ou pas – scolarisés. L’association leur propose un accompagnement via des ateliers d’alphabétisation, des activités collectives et un suivi individuel. Avec, en toile de fond, cette préoccupation : s’adapter au vécu et à la vie de ces ados en difficulté.