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La peur
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
La fatigue
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Perdu comme le Petit Chaperon Rouge
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Un lieu de paroles, d’échanges d’expériences
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Alzheimer Cafés : Ne pas perdre le fil
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Dimension invisible
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Liberté d’expression
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Vers le rétablissement
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
«Une réalité élastique»
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Jeu de miroirs
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Des voix au-dedans de soi
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.