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Un dernier hommage
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Collaboration entre services sociaux et administrations
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Les dernières volontés, un droit pour tous
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
L’impossible deuil
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Donner un nom aux morts de la rue
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Revaloriser le métier
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
Renforcer le contact humain
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
Sociocratie, j’écris ton nom!
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
S’adapter au terrain
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
S’inspirer à l’étranger
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
La remise en question
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.