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Vers le rétablissement
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
«Une réalité élastique»
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Jeu de miroirs
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Des voix au-dedans de soi
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Femmes et associatif : maux d’emploi
Les associations sont engagées, pour nombre d’entre elles, dans la lutte contre les inégalités, dans la défense des plus précaires. Elles sont aussi actrices du dynamisme démocratique et défenderesses de la solidarité. Mais les cordonnières sont parfois mal chaussées: [...]
Un dernier hommage
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Collaboration entre services sociaux et administrations
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Les dernières volontés, un droit pour tous
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
L’impossible deuil
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Donner un nom aux morts de la rue
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Revaloriser le métier
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.