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Regard critique · Justice sociale

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«Nôtre Soin», changer le système de l’intérieur

Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient.  Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.

13-09-2023
(c) Céline Teret

Laboratoire reproductible

Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.

29-08-2023
(c) Céline Teret

Bulle d’intimité

Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.

29-08-2023
(c) Médecins du monde

Animations sur mesure

Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.

29-08-2023
(c) Céline Teret

Des permanences sans tabou

Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.

29-08-2023
(c) Céline Teret

Adobus : santé sexuelle et relationnelle, sans tabou et au plus proche des jeunes

Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.

29-08-2023

Un tiers-lieu culturel sans être coincé sur le culturel

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023

Le Phare pour faire briller Andenne

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023

Chez Bibi, chez Colienne

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023

Financer le lien, pas la brique

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023

«C’est vraiment excellent. Vous devriez essayer. Chaque fois que je viens ici, je craque.»

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023

Tiers-lieux en Wallonie: recréer du lien dans les villages

«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

26-06-2023