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Regard critique · Justice sociale

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Interra : rencontres arrangées contre les préjugés

La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

10-05-2023

Le retour du placard

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

20-03-2023

Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

20-03-2023

Des refuges pour jeunes LGBT: une priorité?

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

Les guerrières d’Yser

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

20-03-2023

Du sofa à la rue: le sans-abrisme caché des LGBT

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

20-03-2023

LGTB, le coming-out du social

Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

20-03-2023

«Ce job, c’était mon rêve!»

Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.

20-03-2023

«Il arrive qu’il y ait des aventures»

Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.

20-03-2023

Formuler ses propres besoins

Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.

20-03-2023

Services de logements supervisés: des colocs comme les autres

Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.

20-03-2023

Des agendas bien remplis

Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.

20-03-2023