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L’impossible deuil
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Donner un nom aux morts de la rue
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Revaloriser le métier
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
Renforcer le contact humain
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
Sociocratie, j’écris ton nom!
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
S’adapter au terrain
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
S’inspirer à l’étranger
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
La remise en question
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
«Nôtre Soin», changer le système de l’intérieur
Depuis des années, le secteur de l’aide et des soins à domicile fait face à bien des difficultés. Outre le manque de personnel ou des durées d’hospitalisation plus courtes, le personnel infirmier est fortement sollicité, réduit trop souvent à faire du chiffre au détriment d’une prise en charge de qualité pour le patient. Pour surmonter ces difficultés, une équipe du centre d’aide et soins à domicile (ASD) de Gedinne tente de réinventer le modèle avec un projet pilote, basé sur davantage d’autonomie pour les professionnels de santé et sur un meilleur accompagnement à domicile pour le patient.
Laboratoire reproductible
Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.
Bulle d’intimité
Chaque semaine, l’Adobus débarque dans les cours de récréation de deux écoles secondaires du Hainaut. Un moment, un espace, où une équipe professionnelle vient à la rencontre des jeunes pour aborder, sans tabou, des sujets liés à la santé sexuelle, affective et relationnelle. A la santé mentale, aussi, bien souvent. Des animations en groupe et des entretiens individuels en toute confidentialité, pour s’informer et échanger, trouver soutien et réconfort. Un endroit où demander une contraception d’urgence ou un test de grossesse, aussi parfois, et être accompagné vers d’autres services d’aide et de soins, si nécessaire. Alors que l’Adobus puise ses origines dans la nécessité de prendre à bras le corps le nombre important de grossesses précoces dans la commune de Colfontaine, aujourd’hui ce projet pilote ne demande qu’à faire des petits.