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«Ce job, c’était mon rêve!»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
«Il arrive qu’il y ait des aventures»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Formuler ses propres besoins
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Services de logements supervisés: des colocs comme les autres
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Des agendas bien remplis
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Désamorcer les conflits
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Des repères dans la maison
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Relais aux profs bénévoles
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.
Le meilleur de l’enfant
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.
La classe, une bulle
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.
Mot d’ordre: adaptation
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.
Le type 5, késako?
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.