Agence Alter
«La transversalité, c’est mon leitmotiv»
Santé, Environnement, Droits des femmes, Égalité des chances, Solidarités… N’en jetez plus: avec ses nombreuses compétences, Yves Coppieters (Les Engagés) est LE ministre du social en Région wallonne et en Fédération Wallonie-Bruxelles. Alter Échos est allé à sa rencontre afin de voir comment il comptait s’y prendre.
Centres fermés toujours ouverts
Il y a 25 ans, le premier centre fermé de Wallonie sortait de terre à Vottem, sur les hauteurs de Liège. C’est l’histoire d’une nouvelle politique migratoire entamée dans les années 70…
Au-delà de la création d’emploi
Selon Julien Charles, docteur en sciences sociales et chargé de recherche à l’UCLouvain et au Centre socialiste d’éducation permanente (CESEP), la transposition wallonne reste la plus comparable au système français, même si la philosophie originelle des TZCLD n’a pas [...]
Une concession vitale pour la survie des magazines
La sonnette d’alarme est une nouvelle fois tirée par la presse indépendante et/ou associative. La survie de plusieurs éditeurs est directement en jeu. Il y a un peu plus d’un an déjà, nous attirions l’attention sur les menaces qui pesaient sur le secteur de la presse périodique via une éventuelle suppression des subventions de bpost pour les magazines distribués à domicile. Aujourd’hui, nous nous retrouvons dans une situation similaire, terriblement floue, où ces subventions semblent à nouveau mises en péril dans la foulée d’un appel d’offres à concession particulièrement chaotique.
Les guerrières d’Yser
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
LGTB, le coming-out du social
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
«Ce job, c’était mon rêve!»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
«Il arrive qu’il y ait des aventures»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Formuler ses propres besoins
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Services de logements supervisés: des colocs comme les autres
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Des agendas bien remplis
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Désamorcer les conflits
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.