Alter Échos
Des cocons pour les mamans
Regards de terrain à Mons chez Marsupilama, à Charleroi chez Echoline et en province de Luxembourg à La Maison Source.
Pierre Pestieau: «Vivre heureux longtemps est aussi une question de responsabilité collective»
Les pauvres meurent plus tôt, et souffrent davantage en fin de vie. Même la mort ne nous fauche pas sur un pied d’égalité. La bonne nouvelle, c’est que ce n’est peut-être pas une fatalité. Pour vivre vieux et mieux, l’économiste Pierre Pestieau nous invite à réfléchir à la gestion collective de nos (bonnes) santés, au travers de son dernier essai coécrit avec Xavier Flawinne: «Vivre heureux longtemps. Combien ça coûte?»
Un tiers-lieu culturel sans être coincé sur le culturel
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
Le Phare pour faire briller Andenne
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
Chez Bibi, chez Colienne
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
Financer le lien, pas la brique
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
«C’est vraiment excellent. Vous devriez essayer. Chaque fois que je viens ici, je craque.»
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
Tiers-lieux en Wallonie: recréer du lien dans les villages
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.
Débat radio – Précarité : la défaite des mères
Pour prolonger notre numéro, découvrez le débat radio, organisé le 28 septembre 2023, par Alter Echos autour de la maternité et de la précarité.
Trouver sa place
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.
Relation égalitaire
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.
Rencontres arrangées contre les préjugés
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.