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Regard critique · Justice sociale
 

 

D’Everberg à Achêne, les nouvelles prisons pour jeunes

Les ministres Jo Vandeurzen, Catherine Fonck, Steven Vanackere et Bernd Gentges1 ont signé un protocole instituant les nouveaux centres fermés fédéraux pourmineurs délinquants. La croissance exponentielle du nombre de places fermées s’accompagne d’un renforcement des mesures de prévention, assure le politique.

Avec Samarc’ondes, la voix est libre

La vérité ne sort pas forcément de la bouche des jeunes mais ce qu’ils ont à dire est toujours bon à entendre. Quel est leur regard sur lasociété ? sur l’enfermement ? sur la sexualité ? sur la violence ? sur la mort ? sur l’environnement ? et sur leur quartier ? Depuis cinq ans, l’AMOSamarcande1 leur laisse libre antenne sur les ondes de Radio Campus2 pour s’exprimer sur ce qui les touche. Percutant.

Les euros de l’Aide à la jeunesse restent bloqués

Le cabinet Fonck a remis sa note sur la répartition du 1,5 million d’euros destiné à renforcer certains services d’accueil de l’Aide à la jeunesse.L’Interfédé1 se dit « globalement satisfaite », mais la note n’est toujours pas passée au gouvernement…

L'esclavage n'est pas aboli

Une matinée de réflexion pour aborder le thème des « esclaves modernes » était organisée par Bruxelles Laïque. Un sujet vaste et épineuxs’il en est. Trop sans doute pour en faire le tour de manière convaincante.

Manque de places… pour aider les jeunes en danger

Les chiffres clés de l’Aide à la jeunesse font l’objet d’une analyse détaillée dans la dernière livraison deFaits&Gestes1. Histoire de rappeler que le rôle du secteur est, avant tout, d’apporter une aide aux mineurs en difficulté de vie ou en danger. Et pas de« gérer » des mineurs délinquants.

« L’Aide à la jeunesse pour les nuls », version web

L’Aide à la jeunesse et ses arcanes n’auront bientôt plus de secret pour les internautes namurois. Un tout nouvel outil, pratique et didactique, vient d’êtrelancé sur la toile par le SAJ de Namur1 pour aider les professionnels comme les citoyens à savoir comment réagir face à des cas de maltraitance infantile ou dedécrochage.

Un meilleur aiguillage pour le placement des mineurs ?

Pas assez de places pour les mineurs délinquants ? La ministre Catherine Fonck (CDH) réplique avec la réforme de la Cellule d’information, d’orientation et decoordination (la Cioc). À défaut de créer des places supplémentaires, cette réforme devrait permettre une meilleure orientation des jeunes et rendre lesprocédures plus efficaces.

Un accueil spécifique pour les mineurs délinquants porteurs de troubles mentaux

Les unités FOR K ou UTI1 fêtent leurs cinq ans d’existence cet automne. Une période qui permet d’aborder avec un peu de recul les enjeux cliniques etpolitiques de ce réseau de soins médico-légal destiné aux délinquants juvéniles présentant des troubles du comportement et des troubles mentaux. Lathématique a été abordée lors des Journées d’automne de l’Aide à la jeunesse2.

Mena : Aïcha, une amie qui vous veut du bien

Comment faire confiance quand on survit sans repères ? Pourquoi penser à l’avenir lorsqu’on est sans papiers ? Par son accueil attentif et chaleureux, par ses atelierscréatifs et son accompagnement individualisé, Aïcha1 tente de redonner goût à la vie aux mineurs non accompagnés.

Les AMO s’attaquent au sexisme ordinaire

Le « Projet genre » est le premier-né des amours complexes d’une dizaine d’AMO bruxelloises réunies en Plate-forme. Une mallette pédagogique àdestination des secteurs éducatif et associatif pour aborder le sexisme chez les jeunes est désormais disponible.

Le nouveau décret sur les centres de vacances patine sur les assimilations

La révision du décret centres de vacances (plaines, séjours et camps de vacances pour enfants)1 joue les prolongations. Le texte est toujours sur le pupitre despolitiques, qui tardent à trouver un langage commun. Certaines organisations de jeunesse (OJ) s’inquiètent, elles, que le texte privilégie la quantité à laqualité.

Jeunesse et engagement citoyen : et si l’exemple venait du Nouveau Monde ?

Comment inciter les jeunes à prendre part aux débats publics, à s’investir dans la société, à réfléchir à ses enjeux, bref,à devenir des citoyens pensant et agissant ? Au Québec, depuis cinq ans, l’INM1 tente de relever la gageure avec son « École d’été». Avec un certain succès.