Céline Teret
Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
À l’hôpital ou chez soi, apprendre malgré la maladie
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé de type 5. Et parce qu’après l’hospitalisation s’enchaîne bien souvent une période de convalescence à domicile, des associations prennent le relais. Focus sur L’Amarelle, une classe à l’hôpital de Jolimont, et sur École Hôpital & Domicile (EHD), une association de professeurs bénévoles. Deux initiatives fonctionnant de concert et apportant aux enfants malades bien plus que du soutien à la scolarité.
À l’hôpital ou chez soi, apprendre malgré la maladie
Maladies, accidents, troubles psychologiques… Certains enfants et jeunes sont contraints d’effectuer un séjour, bref ou long, en hôpital. Pour apprendre malgré la maladie, ils se voient proposer par les écoles à l’hôpital un suivi scolaire relevant de l’enseignement spécialisé [...]
Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?
Comment les structures LGBTQIA+ intègrent les questions sociales dans leurs actions? Le secteur social-santé tient-il compte des spécificités des publics LGBTQIA+? Et si pas, qu’est-ce qui ferait bouger les lignes? Regards croisés entre Anna Devroye, coordinatrice de Prisme, la Fédération wallonne des associations LGBTQIA+, Myriam Monheim, psychologue et psychothérapeute systémique au centre de planning familial Plan F à Bruxelles, et Mélanie Gerrebos, assistante sociale au service social de Tels Quels, association bruxelloise LGBTQIA+.
Animae Mundi : la médiation animale au cœur des fragilités
Centrée sur l’aide à la personne par le biais de la relation à l’animal et la nature, l’association Animae Mundi intervient auprès des institutions du secteur psycho-médico-social. Une approche variée et tout en douceur, à la rencontre du monde animal et à la découverte de soi.
Animae Mundi : la médiation animale au cœur des fragilités
Centrée sur l’aide à la personne par le biais de la relation à l’animal et la nature, l’association Animae Mundi intervient auprès des institutions du secteur psycho-médico-social. Une approche variée et tout en douceur, à la rencontre du monde [...]
Annick Hautem, travailleuse sociale hospitalière
Travailleuse sociale au CHU Saint-Pierre, Annick Hautem accompagne et conseille les patients dans leurs démarches d’accès aux soins, avant, pendant et après leur hospitalisation. Alter Échos lui a emboîté le pas, le temps d’une journée, au cœur de l’unité 406.
La Maison Source. Des gestes et des mots pour accompagner les parentalités fragilisées
En province de Luxembourg, la Maison Source accompagne des jeunes parents précarisés et isolés dans les activités avec leurs enfants. Dans deux espaces didactiques, des familles vivent concrètement les gestes du quotidien liés à l’alimentation, à la santé, au [...]
La Maison Source. Des gestes et des mots pour accompagner les parentalités fragilisées
Deux bassins de vie en province du Luxembourg. Deux lieux pour se ressourcer : une maison à Barvaux et un appartement à Bastogne. Entre les murs de La Maison Source, une équipe de professionnelles de la petite enfance accompagne des jeunes parents issus de milieux précarisés dans les activités du quotidien avec leurs enfants. Chaque année, une soixantaine de familles passent le pas de la porte. Elles atterrissent ici via des services sociaux et de la santé de la région : CPAS, ONE…
La Maison Source leur propose alors un accompagnement individuel ou collectif. La formule varie selon les besoins et les envies. Les séances collectives s’étalent sur la journée et réunissent 3 à 6 parents accompagnés de leur enfant. «En collectif, les mamans discutent, s’entraident, amènent des idées, deviennent amies, développent leur réseau…, explique Marie Spoden, initiatrice et coordinatrice de La Maison Source. Pour certaines familles, l’individuel convient mieux, c’est au cas par cas.» En cette période de Covid et de confinement, l’option «séance individuelle» est de rigueur et le temps passé sur place est, par conséquent, écourté. «On a dû s’organiser autrement, tout en veillant à ce que les mamans continuent à être régulières, poursuit la coordinatrice. C’est important, cette régularité. Six mois dans la vie d’un enfant, c’est beaucoup pour le bien grandir.»
Accueil social à la ferme : rencontre entre deux mondes
En Wallonie, 150 à 200 fermes accueillent des personnes fragilisées pour des raisons sociales, familiales ou de santé. Objectif: améliorer le bien-être de ces personnes. Si les formules d’accueil social à la ferme varient, la plupart s’articulent autour d’un partenariat [...]
Accueil social à la ferme : rencontre entre deux mondes
En Wallonie, 150 à 200 fermes accueillent des personnes fragilisées pour des raisons sociales, familiales ou de santé. Objectif: améliorer le bien-être de ces personnes. Si les formules d’accueil social à la ferme varient, la plupart s’articulent autour d’un partenariat tripartite, entre l’agriculteur, le bénéficiaire et la structure sociale ou de santé. Balade au cœur de quelques-unes de ces initiatives wallonnes.