Le ressac

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

Depuis 2017, les victimes de viol et d’agression sexuelle ont un refuge: les Centres de prise en charge des violences sexuelles (CPVS), multidisciplinaires et de première ligne, offrent un cadre intimiste où le vécu des victimes, leur ressenti, fait office de boussole. Après le lancement d’un projet pilote en 2017, les CPVS ont été multipliés sur le territoire belge et leur existence juridiquement pérennisée en mars dernier.

Le Gang des vieux en colère est un mouvement citoyen qui milite pour une amélioration des conditions de vie des personnes âgées.

Comme un défi teinté de curiosité et d’un brin de malice, nous avons demandé à ChatGPT d’«analyser les résultats des dernières élections en Belgique». Sa réponse va vous étonner…

L’usage du cash est en chute libre. Conséquence et cause à la fois: des distributeurs de billets supprimés les uns après les autres. Un phénomène qui met à mal l’inclusion financière de toute une partie de la population. 

Le recours au temps partiel est le plus élevé chez les moins de 25 ans et à 60 ans. Outre l’âge, le niveau de qualification et le genre sont des facteurs déterminants, qui influent sur le caractère «choisi» ou «subi» de ce régime de travail.

Environ 4.000 mineurs sont placés en famille d’accueil en Belgique francophone. C’est beaucoup, mais c’est trop peu: il manque toujours de places et trop de (très) jeunes enfants finissent placés en institutions. Pour élargir l’offre, un statut de familles d’accueil professionnelles pourrait bientôt voir le jour. Rencontre avec deux familles d’accueil, où les liens du cœur se substituent aux liens du sang.

Le néolibéralisme, c’est un peu comme le monstre du loch Ness. Tout le monde en parle mais rares sont ceux capables de retracer ses origines, d’en décrire les contours. Remédier à ce manque, c’est l’objectif que se sont fixé Damien Piron et Zoé Evrard, docteur et doctorante en sciences politiques, dans leur ouvrage «Le(s) néolibéralisme(s) en Belgique». Ils y retracent l’histoire d’un courant économique aussi impopulaire qu’omniprésent, de ses spécificités dans un État à cheval entre ses entités fédérées et l’Union européenne et du rôle ambigu de la gauche à son égard.