Jehanne Bergé
Il était une fois mon identité multiple
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
La culture à l’école, la fin des inégalités?
En Fédération Wallonie-Bruxelles, la rencontre de la vie culturelle à travers la scolarité est devenue une priorité. Si les initiatives de démocratisation sont à saluer, sur le terrain, l’égalité d’accès est encore loin d’être généralisée. Décryptage.
Dents fragilisées cherchent dentistes conventionnés
La proportion de dentistes conventionnés ne fait que diminuer d’année en année. Si la sécurité des tarifs n’est plus garantie, comment les publics vulnérables pourront-ils continuer à se faire soigner? Au cœur des cabinets, Alter Échos fait le point.
En Bosnie, quel horizon pour la génération d’après-guerre?
Près de 30 ans après la fin des massacres, la Bosnie-Herzégovine reste un pays divisé. En cause: le nationalisme, la corruption, le népotisme. Entre désillusion et volonté de changement, Alter Échos brosse le portrait d’une jeunesse qui tente d’écrire son histoire au présent.
Titres-services: les mains propres d’un secteur pas toujours net
Le secteur des titres-services est en crise et fait la une des journaux depuis plusieurs semaines. Tandis que les syndicats dénoncent les abus des grands groupes privés et que ceux-ci sortent la carte des coupes budgétaires en raison de l’inflation, Alter Échos fait un pas de côté. En quête de modèles alternatifs, nous poussons la porte d’une entreprise d’économie sociale. Un système juste qui n’exploite pas les travailleuses, est-ce possible?
Agents d’entretien: «Nous sommes les oubliettes de l’hôpital»
Tous les matins aux aurores, Marie, Claire, Olga, Toto et les autres arpentent les couloirs des hôpitaux pour ranger, dépoussiérer, ramasser, désinfecter. Bien qu’ils soient travailleurs de première ligne aux côtés du personnel soignant, leur action essentielle reste pourtant souvent invisibilisée. Alter Échos est parti à la rencontre de ces travailleuses et travailleurs de l’ombre.
Un dernier hommage
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Les dernières volontés, un droit pour tous
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
L’impossible deuil
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Donner un nom aux morts de la rue
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.
Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.