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Regard critique · Justice sociale
Martine Vandemeulebroucke

Martine Vandemeulebroucke

Les jeunes dans la ville : ceux qui « tiennent les murs » et les autres

Comment les jeunes s’intègrent-ils dans leur ville ? C’était le thème d’un colloque organisé, fin mars, par l’ARAU. Parmi les thèmes abordés, celui de la marginalisation d’une partie des jeunes Bruxellois. Assiste-t-on à un phénomène de repli sur soi et sur son quartier comme on le voit dans les banlieues françaises ? Perrine Devleeshouwer, chercheuse à l’ULB, relativise cette vision. Il y a, dit-elle, des fractures internes entre jeunes défavorisés et d’origine étrangère et la clé de cette division se situe dans la perception qu’ont les jeunes de l’école et de la réussite scolaire.

Jeunes à l'assaut des élections : Deborah Geradon (PS)

Dans la foulée du dernier dossier d’Alter Échos consacré à l’engagement des jeunes dans la politique, nous vous proposons sur le site, une fois par jour, l’interview, mi-décalée mi-sérieuse, d’un candidat de chaque parti. Aujourd’hui : Deborah Geradon, 27 ans, deuxième suppléante PS pour l’arrondissement de Liège (Parlement wallon).

Jeunes à l'assaut des votes : Violette Leclercq (Ecolo)

Dans la foulée du dernier dossier d’Alter Échos consacré à l’engagement des jeunes dans la politique, nous vous proposons sur le site, une fois par jour, l’interview, mi-décalée mi-sérieuse, d’un candidat de chaque parti. Aujourd’hui : Violette Leclercq, tout juste 20 ans, membre d’Ecolo J, sixième suppléante pour la Région Hainaut-Picardie.

Moi, Roland, 58 ans en 2030

Obsolète notre système de pensions ? Quelle cure de jouvence lui imposer ? La Fondation pour les générations futures (FGF) a demandé à un panel de 24 citoyens d’imaginer le monde des aînés et des actifs de demain. Le tout est synthétisé dans un « témoignage » dans lequel « Roland » raconte 2030 et une autre solidarité intergénérationnelle.

Vers une trêve hivernale pour tous les locataires ?

Cet hiver, les sociétés de logement social en Wallonie ont dû gérer leur première « trêve » en matière d’expulsions de locataires. En mai 2013, le Parlement wallon a voté la proposition de décret de la députée Ecolo Isabelle Meerhaegue qui interdit ces expulsions entre le premier novembre et le 15 mars. Ce « moratoire » (c’est le terme du décret) existe déjà à Bruxelles depuis 2001. Rien n’est prévu en Flandre.

« Ce sont des battantes mais aussi des femmes épuisées »

Pendant un an, Marie-Claude Chainaye, coordinatrice de projets au Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, a rencontré des familles monoparentales précarisées à Bruxelles et en Wallonie. Au total, trois cents pages d’interviews qui révèlent beaucoup d’épreuves mais aussi un farouche désir de « sortir la tête de l’eau ».

Parents en solo, parents abandonnés

Les familles monoparentales affolent les compteurs sociaux : risque de pauvreté accru de plus de 50 %, isolement, taux de chômage important, mauvaises conditions de logement. Le nombre de ces familles ne cesse d’augmenter parallèlement à celui des ruptures et des divorces. Mais les politiques sociales ne suivent pas.

Médibus roule pour les sans-abri et les toxicomanes

La Wallonie compte sept centres régionaux d’intégration situés à Namur, Liège, Verviers, La Louvière, Mons, Charleroi et Tubize. Un huitième devrait bientôt voir le jour en Province du Luxembourg.

La mixité perd la deuxième manche

Des salles de fitness ladies only, des piscines avec des créneaux horaires pour femmes, le sport sans les hommes va-t-il faire la course en tête ?

Les dégâts humains des centres de retour

Les centres de retour ont été conçus pour encourager le retour volontaire des demandeurs d’asile déboutés mais c’est un fiasco politique, financier, humain.

À Liège, un prêt sans intérêt pour aider propriétaires et locataires

Les tuteurs énergie des CPAS sont souvent confrontés à des bâtiments mal isolés qui ruinent les locataires autant que l’efficacité de leurs conseils en matière d’économies d’énergie.

« On doit d’abord apprendre aux gens à trouver leurs compteurs »

Pour certains locataires, une facture d’électricité est aussi incompréhensible qu’un manuscrit chinois. À Bruxelles, les accompagnateurs énergie de la Fédération des services sociaux aident les plus précarisés à déchiffrer leur consommation pour mieux la maîtriser.