
Trempoline : se poser pour pouvoir rebondir dans la vie
Fondé en 1985 par des professionnels de l’aide aux toxicomanes, Trempoline propose dans la région de Charleroi un programme thérapeutique qui conduit les personnes souffrant d’assuétudes à se réinsérer dans la société. Ce sont majoritairement des hommes, souvent ayant connu la prison. Depuis trois décennies, l’institution, basée sur la communauté et la paire-aidance, n’a cessé de développer son offre de services pour répondre aux besoins des usagers de drogues comme de leurs proches.

Trempoline : se poser pour pouvoir rebondir dans la vie
Fondé en 1985 par des professionnels de l’aide aux toxicomanes, Trempoline propose dans la région de Charleroi un programme thérapeutique qui conduit les personnes souffrant d’assuétudes à se réinsérer dans la société.

Au pays du grand bazar
La Belgique est le pays des supermarchés. Un développement sans fin qui a des conséquences tant sur le paysage que sur les conditions de travail.

Qualité de l’air : un détail qui tue
Chaque mois, Alter Échos replonge dans 25 années de journalisme social. Cette fois, on s’intéresse à la qualité de l’air où, en la matière, la Belgique est désespérément à la traîne.

«Si ces commerces périphériques venaient à disparaître, le risque de se retrouver dans des déserts commerciaux serait alors assez important»
À l’échelle du pays, 2021 sera une année record avec bientôt 4.000 supermarchés, soit autant qu’aux Pays-Bas. Cette évolution touche toutes les chaînes, alors que le marché est saturé depuis des années. Un développement sans fin qui a des conséquences sur l’environnement, la mobilité et les conditions de travail. On fait le point avec Jacques Teller, professeur d’urbanisme et d’aménagement du territoire à l’Université de Liège.

Christine Mahy: «Que ce soit en Belgique ou en Europe, le social n’est plus une évidence»
Un an de confinement, un an de crise… À cette occasion, Alter Échos dresse avec diverses personnalités rencontrées il y a un an un premier bilan après le coronavirus. Ce vendredi, c’est au tour de Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté.

Travail, famille… Inégalités
Le rapport au travail des femmes reste largement dominé par leur appartenance sociale, leur statut socioprofessionnel, les contraintes familiales et les exigences du marché. Un cocktail qui peut s’avérer, sur l’autel de l’employabilité, particulièrement violent. Les politiques en matière d’emploi restent en effet foncièrement paternalistes, renforcent les rôles traditionnels et amputent les revenus des femmes.

Je t’aime… à la folie
Océane Ilunga, étudiante à l’IHECS, s’est plongée dans le quotidien d’un couple rythmé par la maladie d’Alzheimer.

Revenu de base: l’aventure, c’est l’aventure
Chaque mois, Alter Échos replonge dans 25 années de journalisme social. Cette fois, on s’intéresse au revenu universel. L’idée est revenue sur le devant de la scène, crise oblige. Mais le concept est loin de faire l’unanimité: nouveau modèle de protection sociale pour ses défenseurs, détricotage des droits pour ses pourfendeurs… L’allocation universelle reste néanmoins une idée qui fait son chemin.

SOFFT, un service d’insertion qui lutte contre les stéréotypes
Le rapport au travail des femmes reste largement dominé par leur appartenance sociale, leur statut socioprofessionnel, les contraintes familiales et les exigences du marché. Un cocktail qui peut s’avérer, sur l’autel de l’employabilité, particulièrement violent. À Liège, SOFFT, pour Service d’orientation pour femmes à la recherche d’une formation ou d’un travail, œuvre pour faciliter l’insertion d’un public féminin éloigné de l’emploi. Ce service fait partie du CVFE, le Collectif contre les violences familiales et l’exclusion.

«On choisit de prendre la personne dans sa globalité»
Sortir durablement du sans-abrisme ou de la grande précarité, tel est le défi de l’asbl Comme chez nous, créée à Charleroi en 1995. Dans «Construire avec les naufragés», l’association explore 25 années d’évolution de pratiques et de recherches en travail social d’accompagnement et d’accueil. Pour en parler, Alter Echos a rencontré Stéphanie Cassilde, chercheuse au sein de l’asbl carolo.

Daspa: l’école à l’épreuve de l’exil
La scolarisation des primo-arrivants reste un défi de tous les jours pour les écoles qui accueillent ces jeunes. Le public est hétérogène, souvent peu scolarisé, voire analphabète, et les objectifs pédagogiques, ambitieux, appellent à en faire des élèves ordinaires rapidement. Une gageure, très certainement, dans un système scolaire aussi complexe que le nôtre. C’est compter sans le dévouement des enseignants, de leur direction, pour tenter et parfois réussir l’impossible.