Sandrine Warsztacki
Les maisons « pirates » wallonnes doivent rentrer dans la norme
Ne dites plus « maisons pirates », dites « maisons d’hébergement collectif de personnes en difficultés prolongées ». Le 28 mars, le Parlement wallon a voté une proposition de décret qui met fin au vide juridique dans lequel voguaient les structures d’hébergement non agrées. Le texte, qui fixe des critères minimum auxquels ces lieux devront se conformer pour assurer une certaine qualité d’accueil, entrera en vigueur au plus tard dans six mois.
Des chiffres et des sentiments
Dans une vidéo qui connut en son temps son petit succès sur la Toile, un humoriste canadien démontrait par A plus B comment vos chances de gagner le pactole au Lotto étaient dix fois plus importantes que le risque [...]
Tous télégalitaires!
Bonne nouvelle pour les téléspectateurs wallons, la redevance de 100 euros imposée à chaque ménage, quel que soit son revenu, est supprimée depuis ce 1er janvier à l’issue d’un de ces rocambolesques feuilletons politiques dont la Belgique a le secret. [...]
Maisons «pirates»: interdire ou encadrer?
On dénombrerait une cinquantaine d’hébergements non agréés en Belgique francophone. Si certains offrent une solution correcte pour un public qui n’a pas trouvé de place dans le circuit «officiel», les dérives constatées dans d’autres sont légion. À Bruxelles comme en Wallonie, le vide juridique qui entoure ces hébergements est en voie d’être comblé. Bruxelles se dirige vers une interdiction. La Wallonie s’oriente vers une forme d’encadrement souple.
Maisons pirates : bientôt (il)légales ?
On dénombrerait une cinquantaine d’hébergements non agréés en Belgique francophone. Si certains offrent une solution correcte pour un public qui n’a pas trouvé de place dans le circuit «officiel», les dérives constatées dans d’autres sont légion. À Bruxelles comme en Wallonie, le vide juridique qui entoure ces hébergements est en voie d’être comblé. Bruxelles se dirige vers une interdiction. La Wallonie s’oriente vers une forme d’encadrement
Lutte contre le radicalisme: la sécurité au prix du social
18 novembre 2015, Paris est en deuil après les attentats qui ont frappé Charlie. À Molenbeek-Saint-Jean, des caméras du monde entier ont débarqué pour filmer la commune où a grandi Salah Abdeslam. Cette présence médiatique rend les jeunes du [...]
Lutte contre le radicalisme, la sécurité au prix du social
Comment les politiques de lutte contre le radicalisme ont-elles impacté le travail social? Quelles sont les initiatives qui permettent de lutter efficacement contre ce phénomène complexe? Comment concilier sécurité et exigences déontologiques? Quid de la formation des travailleurs? Que faire des détenus condamnés pour terrorisme? Pour tenter de répondre à ces questions, Alter Échos vous propose une compilation des articles publiés dans nos colonnes ces deux dernières années. Un hors série à feuilleter gratuitement sur notre site.
Hé, vous avez lu ça?
«Le sexe ou le CPAS?», titrions-nous dans le dernier édito d’Alter Échos. Un titre qui a fait mouche visiblement d’après les statistiques enregistrées sur notre site. Est-ce le mot «sexe»? Est-ce le mot «CPAS»? L’article a dominé le podium des [...]
Le sexe ou le CPAS?
«Je trouve ça indigne, moi, d’aller mendier de l’argent au CPAS. Au moins, moi, je vends quelque chose, je donne un service.» Ce témoignage pourrait sortir de la bouche d’un entrepreneur très libéral, un peu remonté sur la sécurité sociale à l’heure de l’apéro. Plus inquiétant, la citation émane d’un jeune qui a choisi de vendre ses charmes pour financer ses études.
La pluie et le beau temps
À force de traiter une actualité pas toujours riante, les journalistes sont-ils devenus d’indécrottables pessimistes? Tous les mois, le Forem et Actiris nous annoncent que le chômage est en baisse. Mais «les statistiques, c’est comme le bikini: ça donne des [...]
Des inégalités plein le cartable
L’heure de la rentrée a sonné. Un évènement qui anime les familles. Et les médias aussi. Se faufilant entre les traditionnels marronniers, la fondation Roi Baudouin profitait de cette soudaine et prévisible attention journalistiques pour attirer l’attention sur la ségrégation scolaire