Journée des insertions : Comment l’enseignement peut-il être un vecteur d’insertion ?
C’est la question qui a traversé le deuxième thème de cette journée des insertions. Autour de la table, des responsables politiques pour aborder le premier vecteurd’insertion que constitue l’enseignement obligatoire.
Pistes pour refonder les politiques culturelles
Comment refonder les politiques culturelles ? C’est la question ambitieuse que pose le dernier livre d’Alain de Wasseige publié à compte d’auteur1. À travers 46questions, ce spécialiste des questions culturelles balaie les grands enjeux du secteur, et plus largement la question la gouvernance des politiques publiques. L’auteur nous convie à untour à 360° « à partir d’une réflexion de base qui échappe aux approches des politiques actuelles » : les fondements des politiques (modes desubsidiations, types d’opérateur, organisation de l’administration, enjeu d’une évaluation des politiques culturelles…), le contexte institutionnel et politique, les relations del’économie avec la culture, les relations aux populations, la création, les métiers de la culture. Ensuite, dans un tableau synthétique, Alain de Wasseige reprend lesobjectifs et effets attendus de chaque proposition. Interview de l’auteur, extraits.
SMart day : « Peut-on faire l’économie de la culture ? »
C’était la question posée par l’asbl SMart1 le 27 avril dernier lors de sa « SMart day », l’occasion pour une centaine de personnes de débattre del’économie culturelle. Les questions qui sous-tendent le statut de l’artiste sont intéressantes à plus d’un titre. Elles constituent notamment une sorte derévélateur des tensions qui traversent l’ensemble du marché du travail. Compte rendu de cette journée et mise en perspective.
Non-marchand : nouveau round de négociation en vue
Les accords « non-marchand » conclus en 2000 doivent permettre aux secteurs de l’action sociale d’atteindre les barèmes de la commission paritaire 305.01. Ce 29 mars, les syndicatsmanifestaient devant le cabinet de la ministre Vienne, en charge de l’Action sociale et la Santé. Comme pour la Communauté française, la revendication principale porte surl’ouverture d’un nouveau round de négociations en vue de poursuivre la (longue) marche vers les horizons barémiques promis en 2000. La ministre a reçu les partenairessociaux et une première réunion de travail a été programmée pour le 24 avril. Du côté de la Communauté française, si on part de beaucoupplus loin, le gouvernement annonce 30 millions d’euros qui arriveront progressivement chez les travailleurs des secteurs socioculturel et socio-sanitaire d’ici à 2009.
Clôture des e-colloques : le point sur les enjeux du secteur de l’action sociale en Wallonie
La ministre wallonne de l’Action sociale et de la Santé, Christiane Vienne (PS)1, a conclu les e-colloques, ces forums thématiques organisés sur le net.Organisé pour les 10 ans de l’action sociale en Région wallonne, cinq thèmes ont été débattus entre septembre et décembre 2005. En conclusion duprocessus, Vincent de Coorebyter, le directeur général du Crisp2, était invité à présenter une synthèse des débats. L’occasionégalement pour la ministre de rappeler sa volonté d’instaurer, d’ici début 2007, une « charte sociale wallonne”.
25 ans pour la Fédération des maisons médicales
Les 3 et 4 février 2006, la Fédération des maisons médicales (FMM)1 organisait un colloque anniversaire. « Refonder les pratiques sociales et lespratiques de santé », c’est en ces termes que le débat a été posé. Une manière aussi de tracer les perspectives et les grands défis àrelever en matière de politique sociale et de santé.
Quand la soupe populaire a un arrière-goût d’extrême droite
La soupe distribuée aux sans abris est-elle en train de devenir un outil de propagande ? L’idée est simple. Proposer une soupe qui contient du cochon afin d’en exclureles personnes musulmanes et juives. Des distributions de « soupe au cochon » ont été organisée par une association le 9 janvier à Bruxelles et le 13 àCharleroi. L’initiative est clairement… d’extrême droite avec l’introduction d’un nouveau concept de « soupe identitaire ». Analyses d’intervenantssociaux et d’un spécialiste de l’extrême-droite, Manu Abramowicz.
Débats autour de l’application de la réforme de l’éducation permanente
Le secteur de l’éducation permanente connaît de gros changements depuis quelques mois. Un nouveau décret, voté sous la législature précédente,vise à le professionnaliser. Son application est progressive. Avec la publication des arrêtés en juin 2004, un premier appel s’est concrétisé par lareconnaissance de 16 associations en septembre 2005. Mais pour la majorité du secteur, que ce soit les associations anciennement reconnues ou les nouvelles prétendantes, lesdémarches ne font que commencer. Une petite centaine d’associations ont rendu une nouvelle demande de reconnaissance en mars 2005. Pour elles, le processus devrait se terminer en marsprochain, date à laquelle un nouveau train d’associations aura remis sa demande. La clôture des renouvellements des associations précédemment reconnues par ledécret de 1976 interviendra en mars 2008.
Présentation du Plan wallon de cohésion sociale
Le Plan wallon de cohésion sociale a été adopté ce mercredi 19 octobre par le gouvernement wallon ; 304 millions d’euros seront dégagés sur les quatreprochaines années. L’ex « PST III », partie « sociale » du Contrat d’avenir renouvelé compte 5 axes. Il couvre les compétences Logement(Antoine, CDH), Emploi (Marcourt, PS), Action sociale et Santé (Vienne, PS) et Formation (Arena, PS). Le plan compte peu de nouveautés. En effet, il traduit en grande partie ladéclaration de politique régionale (DPR) de 2004 et reprend les priorités du gouvernement pour les quatre prochaines années.
Fédéral : des mesures pour l’emploi des jeunes et la formation continuée
La note d’orientation du gouvernement fédéral aux partenaires sociaux a fait couler beaucoup d’encre… et suscité pas mal d’émois auprèsde ses destinataires. Transmise fin septembre, elle a débouché sur une grève organisée par la FGTB début octobre. Ce qui achoppe, ce sont les fins decarrières et le financement de la sécurité sociale. Si les discussions portent surtout sur ces volets, une partie de la note concerne l’embauche de jeunes et plusgénéralement la formation tout au long de la vie. L’objectif annoncé est d’augmenter le taux d’emploi des plus jeunes et des plus vieux mais égalementd’accroître les recettes de l’État grâce à un sursaut de l’activité économique. Le gouvernement entend donct jouer sur deux tableaux,l’accès des jeunes à l’emploi et le maintien des plus âgés dans le monde du travail.
Fédéral : des mesures pour l'emploi des jeunes et la formation continuée
La note d’orientation du gouvernement fédéral aux partenaires sociaux a fait couler beaucoup d’encre… et suscité pas mal d’émois auprèsde ses destinataires. Transmise fin septembre, elle a débouché sur une grève organisée par la FGTB début octobre. Ce qui achoppe, ce sont les fins decarrières et le financement de la sécurité sociale. Si les discussions portent surtout sur ces volets, une partie de la note concerne l’embauche de jeunes et plusgénéralement la formation tout au long de la vie. L’objectif annoncé est d’augmenter le taux d’emploi des plus jeunes et des plus vieux mais égalementd’accroître les recettes de l’État grâce à un sursaut de l’activité économique. Le gouvernement entend donct jouer sur deux tableaux,l’accès des jeunes à l’emploi et le maintien des plus âgés dans le monde du travail.
16 associations reconnues dans le cadre du nouveau décret soutenant l’action associative
Fin septembre, la ministre Fadila Laanan, en charge de la Culture et de l’éducation permanente, annonçait au Conseil supérieur de l’Éducation permanente quellesétaient les premières associations reconnues dans le cadre du nouveau décret. Le premier train d’associations en compte 16 dont 12 nouvellement reconnues sur les 19 qui avaientmaintenu leur demande.