Le 15 mai, une manifestation réunissait près de 500 travailleurs du non-marchand. Les manifestants, dans le cadre du front commun syndical rassemblant la CNE, la CGSLB et le Setca,ont rencontré les présidents des partis participant aux exécutifs des Régions wallonne, bruxelloise et de la Communauté Wallonie-Bruxelles.
Une partie du personnel du non-marchand est financé via les Programmes de résorption du chômage (PRC), du ressort des Régions, mais travaille dans des secteurs quidépendent de la Communauté française. Depuis la signature des accords en juin 2000, Région et Communauté se renvoient la balle pour savoir qui prendra en charge lefinancement supplémentaire.
D'après Jean-Marie Léonard (Setca)1, les rencontres avec les présidents de parti ont permis de dégager un constat commun. «Tous les partis rencontrentnotre analyse. Il faut cesser ce jeu de ping-pong entre les gouvernements régional et communautaire». Concrètement, les rencontres ont débouché sur une correctionqui prend en compte les besoins déjà identifiés lors de l'ajustement budgétaire 2003. La Communauté française et la Cocof intégreront cette nouvelledonne pour le budget 2004. L'ob...
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Les accords du non-marchand avancent-ils au gré des scrutins?
Le 15 mai, une manifestation réunissait près de 500 travailleurs du non-marchand. Les manifestants, dans le cadre du front commun syndical rassemblant la CNE, la CGSLB et le Setca,ont rencontré les présidents des partis participant aux exécutifs des Régions wallonne, bruxelloise et de la Communauté Wallonie-Bruxelles.
xavier
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