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Regard critique · Justice sociale

Enseignement

«Les acteurs de la promotion sociale n’auront pas à s’inquiéter»

Le secteur de l’enseignement de promotion sociale s’interroge sur son avenir. Isabelle Simonis, sa ministre de tutelle, lui répond.

CC-Magdalena-Roeseler

Le secteur de l’enseignement de promotion sociale s’interroge sur son avenir. Isabelle Simonis, sa ministre de tutelle, lui répond.
Dans notre numéro précédent (Alter Échos n°390 du 9.10.2014: «Crise d’identité pour la promotion sociale?»), nous consacrions un article à l’enseignement de promotion sociale. Face à un accès possible à la certification pour certains opérateurs de formation, face au nouveau paysage de l’enseignement supérieur, le secteur semblait s’inquiéter pour sa place et sa visibilité. Nous n’avions pas pu obtenir la réaction d’Isabelle Simonis (PS), la ministre de l’enseignement de promotion sociale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce qui est maintenant chose faite. «L’enseignement de promotion sociale doit garder ses spécificités; celles d’un enseignement de l’autre chance, qui propose une méthode d’apprentissage et d’évaluation différente des autres pans de l’enseignement», a-t-elle tenu à préciser. Avant de se montrer rassurante: «Les acteurs de l’enseignement de promotion sociale n’auront pas à s’inquiéter, la visibilité de l’enseignement de promotion sociale est une priorité que je me suis fixée durant cette législature.»
Il n’empêche, Isabelle Simonis ne semble pas fermer la porte à la certification pour les opérateurs de formation. «Certains éléments concourent à penser qu’un rapprochement est souhaité par une série d’opérateurs, explique-t-elle. Il ap...

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Dans notre numéro précédent (Alter Échos n°390 du 9.10.2014: «Crise d’identité pour la promotion sociale?»), nous consacrions un article à l’enseignement de promotion sociale. Face à un accès possible à la certification pour certains opérateurs de formation, face au nouveau paysage de l’enseignement supérieur, le secteur semblait s’inquiéter pour sa place et sa visibilité. Nous n’avions pas pu obtenir la réaction d’Isabelle Simonis (PS), la ministre de l’enseignement de promotion sociale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce qui est maintenant chose faite. «L’enseignement de promotion sociale doit garder ses spécificités; celles d’un enseignement de l’autre chance, qui propose une méthode d’apprentissage et d’évaluation différente des autres pans de l’enseignement», a-t-elle tenu à préciser. Avant de se montrer rassurante: «Les acteurs de l’enseignement de promotion sociale n’auront pas à s’inquiéter, la visibilité de l’enseignement de promotion sociale est une priorité que je me suis fixée durant cette législature.»
Il n’empêche, Isabelle Simonis ne semble pas fermer la porte à la certification pour les opérateurs de formation. «Certains éléments concourent à penser qu’un rapprochement est souhaité par une série d’opérateurs, explique-t-elle. Il ap...

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Julien Winkel

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