L´avant-projet de Code wallon du Logement, présenté le 27 mars dernier par le Ministre régional wallon du logement Willy Taminiaux au gouvernement wallon innove enmatière de « location forcée ». Il prévoit en effet que, dans le cadre d´une procédure simple, tout opérateur immobilier pourra proposer au propriétaired´un bien abandonné la location de ce bien. Si le propriétaire refuse, le dossier pourra être porté devant la justice de paix qui pourra, le caséchéant, imposer la location.
Voici les détails de la procédure que nous avons pu obtenir au cabinet du Ministre Taminiaux1, étant entendu que les aspects plus concrets feront l´objet d´unarrêté du gouvernement.
Le principe de la location forcée répond au voeu du Ministre de trouver une formule de « droit de réquisition adouci ». La procédure, telle qu´elle est prévueactuellement, s´effectuerait en deux phases.
Alter Échos
Pssstt, visiteur, visiteuse du site d'Alter Échos !
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web.
Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus,
notamment ceux en lien avec le Covid-19, pour le partage, pour l'intérêt qu'ils représentent pour la collectivité,
et pour répondre à notre mission d'éducation permanente.
Mais produire une information critique de qualité a un coût. Soutenez-nous ! Abonnez-vous !
Et parlez-en autour de vous.
Profitez de notre offre découverte 19€ pour 3 mois (accès web aux contenus/archives en ligne + édition papier)
Sur le même sujet
-
Flashback
Centres fermés toujours ouverts
-
Politique
Vingt mille grèves sous les ordonnances judiciaires
-
Petite enfance / Jeunesse
Violences sexuelles, entre ados aussi
-
L'image
Les invisibles des invisibles
Les plus consultés
- «Derrière les adultes à la rue, il y a des enfants qui trinquent.»
- WhatsApp à l’école: qui a eu cette idée folle?
- Bouillon de lectures
- Communautés d’énergie,
menacées par les entreprises? - Occuper et gentrifier
- La culture au centre
- «Des étudiants s’acharnent alors que l’on sait qu’ils n’y arriveront pas»