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Regard critique · Justice sociale

"gouvernement wallon"

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Plan pluriannuel pour les campings : tables rondes et revendications

Les 11, 12 et 14 mars, Liège, Namur et Charleroi ont accueilli trois tables rondes d’information et de concertation sur la problématique des résidents permanents dansles équipements touristiques, organisées par l’APIC (Action pilote intégrée campings). La Région wallonne y a présenté son plan d’actionpluriannuel sur l’habitat permanent aux partenaires potentiels et aux opérateurs concernés (communes, CPAS, gérants de campings et de parcs résidentiels, associatif,etc.), afin de recueillir d’entendre leurs commentaires. Tout le monde semble adhérer aux principes du plan. Mais quid de la mise en pratique ? Les pouvoirs locaux s’interrogent,entre autres, sur les moyens humains et financiers dont ils disposeront, ainsi que sur le temps qui leur sera accordé. L’associatif déplore l’intention politique deconsulter en final (les personnes) les résidents permanents. Enfin, si certains parcs résidentiels et domaines pourront être reconvertis en zone d’habitat, ce ne sera pas lecas des campings. La question du relogement est donc au centre du débat. Les logements sociaux manquent, l’action des AIS est ardue… Alors, où reloger les résidents?

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Quelles seront les entreprises agréées pour prester dans le cadre du titre-services ?

La réponse à cette question exigeait un accord de coopération entre les trois régions et la Communauté germanophone. Après nombre d’effets d’annonce etretournements d’accords politiques – sans compter un avis peu favorable du Conseil d’État –, un texte a finalement été signé le 20 décembre. Les textesd’approbation de ce (second) accord ne doivent pas passer au Parlement : le premier accord a habilité les exécutifs à le signer, nous dit-on chez les ministres de l’emploiconcernés. Il constitue donc un socle commun pour définir les entreprises agréées par les quatre autorités signataires.

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Touches finales à l'accord de coopération pour la validation des compétences?

Le Gouvernement de la Communauté française a approuvé le jeudi 17 juillet l’accord de coopération francophone (avec la Région wallonne et la Cocof), relatifà « la validation des compétences dans le champ de la formation professionnelle continue ».

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La SWL intéresse les investisseurs étrangers

En octobre 2002, la Société wallonne du logement (SWL)1 avait émis sur le marché européen des Euro-obligations – soit un emprunt public –pour un montant de 211 millions d’euros2. Ces émissions doivent servir à financer les programmes d’investissement de 1997 à 20013 pour la création etla rénovation des logements de service public wallons. Ces emprunts s’ajoutent aux dotations régionales. « Ce type de financement a été choisi pour diversifier lessources de financement de la SWL et lui permettre, ainsi qu’à la Région qui garantit les emprunts, de se faire connaître sur les marchés financiers internationaux »,explique Olivier Dechenne, en charge du dossier à la SWL. « Le marché belge s’avérait trop étroit et nous avions déjà d’importantes lignes decrédits dans les grandes banques. »

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Touches finales à l’accord de coopération pour la validation des compétences?

Le Gouvernement de la Communauté française a approuvé le jeudi 17 juillet l’accord de coopération francophone (avec la Région wallonne et la Cocof), relatifà « la validation des compétences dans le champ de la formation professionnelle continue ».

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Lire et Écrire fête ses 20 ans sur fond de polémique

La prise de conscience de la réalité de l’analphabétisme était son credo, dès 1983. Profitant de ce début septembre où l’on célèbrepartout de par le monde la journée de l’analphabétisme, l’association Lire et Ecrire1 fêtait ce 5 septembre ses vingt ans. Un anniversaire quelque peu terni par lapolémique de ces derniers jours autour de l’absence d’invitation de l’association au comité de pilotage de la conférence interministérielle de la Communautéfrançaise sur l’analphabétisme.

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CPAS de La Louvière : un service d’aide et de maintien à domicile avec les titres-services

En 2002, grâce aux crédits de la Fondation Roi Baudouin, le CPAS de La Louvière1 faisait réaliser par la société de sondage Sonecom une étudesociologique auprès de 500 familles afin de déterminer les besoins de la population par rapport à l’offre du service social, en matière d’aide et de maintienà domicile. En première position, figuraient tous les besoins liés au logement2. Conscient de la demande croissante et de l’impossibilité de son serviced’aides ménagères à y répondre, le CPAS décidait de modifier son fonctionnement. L’arrivée des titres-services3 lui en offrel’opportunité.

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Subsides alloués aux articles 60 et 61 : les CPAS accusent le ministre Detienne de défaut de prévoyance

« Le non-paiement de ces subsides va non seulement mettre un arrêt immédiat à tous les engagements programmés mais aussi provoquer des licenciements vul’impossibilité financière pour les CPAS d’assumer sur fonds propres et sans préavis le défaut total de prévoyance du ministre wallon des Affairessociales et de la Santé, Thierry Detienne ». L’attaque est directe, elle vient de la Fédération des CPAS de l’Union des villes et communes1. En cause,l’épuisement du budget consacré aux subventions accordées aux CPAS wallons dans le cadre de l’intégration professionnelle. Pour rappel, conformémentà la loi de 1998, les CPAS bénéficient d’une subvention régionale de 223 euros par mois2 pendant une période maximale de 18 mois pour toute mise au travaillorsqu’ils engagent des allocataires dans le cadre du contrat « article 60 § 7 » et « article 61 » de la loi organique des CPAS.

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Logements sociaux : au-delà de la rénovation, l’entretien régulier

Ce 25 septembre, au Parlement wallon1, une interpellation et deux questions orales ont porté sur le programme exceptionnel de rénovation des logements sociaux adopté le 3juillet dernier. Le député Philippe Fontaine (MR) a interpellé le ministre du Logement, Michel Daerden, sur le financement du programme et son coût global. Pour lui, il estimportant de déterminer les causes de la situation actuelle, « sinon rien n’empêchera une telle situation de se reproduire à l’avenir ». Ledéputé estime qu’« entretenir quotidiennement un immeuble est moins onéreux que des grands programmes de rénovation ». Il attribue la carence dessociétés de logement en la matière à « une gestion déficiente ou peu adaptée » et à « un déficit structurel en termes demoyens financiers ». Aussi suggère-t-il de « prévoir un plan d’entretien à long terme ainsi que son financement ».

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Accompagnateurs sociaux en entreprise d'insertion : la GRH à finalité sociale ?

Entré en vigueur en avril 2004, le nouveau décret wallon sur les entreprises d’insertion (EI)1 prévoyait à la demande du secteur la créationd’un cadre pour la fonction d’accompagnateur social (AS) destiné à prendre en charge les travailleurs – souvent fragilisés – des EI et à assurerune interface avec les directions d’entreprise. Depuis peu, ce cadre se trouve complété par une grille détaillant leurs missions, résultat d’un travailauprès des AS du secteur, à l’initiative des réseaux RES et CAIPS.

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Projets du ministre André Antoine pour le logement en 2005-2009

Ce 17 novembre, le ministre wallon du Logement, André Antoine1, a présenté ses projets en matière de logement pour les cinq années à venir. Au menu :réforme du Code wallon du logement et 10 lignes directrices pour une nouvelle dynamique du logement au niveau régional. L’objectif sous-jacent est de mettre ou remettre sur lemarché locatif près de 2.000 logements supplémentaires chaque année.

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Vivre ensemble appelle à "bouleverser les exclusions"

« Noël n’est pas joyeux pour tout le monde ». À l’appel d’Action Vivre Ensemble1, association de lutte contre l’exclusion sociale qui soutient plusde 80 initiatives de lutte contre l’exclusion en Wallonie et à Bruxelles, quelques dizaines d’associations ont garni symboliquement un sapin de Noël ce 23 novembre sur laplace St Aubain à Namur. Associations, responsables politiques et toute personne quelle qu’elle soit ont été invités à « boule »verser lesexclusions « sans perdre la boule » en « ouvrant les chemins de la participation, droit essentiel permettant de garantir tous les autres droits de l’Homme, y compris lesdroits économiques et sociaux » (PNUD, rapport 2000). Au pied du sapin, l’expo « Ego-Egaux »2 imageait l’exclusion en témoignages et en photos.