"patrick charlier"
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Primo-arrivants bruxellois: un parcours d'accueil obligatoire pour les parents d'enfants scolarisés ?
À Bruxelles, le parcours d’intégration reste facultatif. La CGSLB plaide pour le rendre «obligatoire» auprès des primo-arrivants dont les enfants sont en âge de scolarité. Une fausse bonne idée?
Le Centre pour l’égalité des chances se penche sur la discrimination
Après son rapport sur les migrations et celui sur la traite des êtres humains, le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme (CECLR)présentait son troisième rapport : la version 20071 consacrée cette fois à la discrimination et la diversité.
Expulsions et déontologie : un cocktail explosif pour les travailleurs sociaux des centres d'accueil
La question de l’accueil des demandeurs d’asile et, au-delà, celle du sort réservé aux sans-papiers et aux clandestins peuvent s’appréhender àcourt, à moyen et à long terme. Chacune de ces perspectives est porteuse d’enjeux et d’interrogations spécifiques pour le travail social. À court terme,c’est le sort du protocole d’accord – vivement critiqué – conclu entre Fedasil et l’Office des étrangers (voir Alter Échos n° 192) quirequiert l’attention. À moyen terme, c’est un avant-projet de loi sur la politique d’accueil, en cours de finalisation au sein du cabinet du ministre de l’Intégrationsociale Christian Dupont (PS) qui figure au centre des débats. Et à long terme, la question posée est celle de la transformation des missions assignées aux assistantssociaux : d’un cadre éthique inscrit dans la droite ligne de la Déclaration des droits de l’homme et marqué par une volonté d’accroissement del’égalité de fait, les politiques sociales connaîtraient depuis une trentaine d’années un glissement vers la gestion de la fracture sociale et le contrôlede ceux que Robert Castel appelle les « surnuméraires ». C’est en prenant appui sur le court terme et l’actualité chaude des arrestations dans les centres que laPlate-Forme de vigilance pour les réfugiés et les sans-papiers1 et le Comité de vigilance en travail social2 ont voulu remettre en question ces tendances defond – dépassant la seule question des demandeurs d’asile – et peser sur le processus législatif en cours.
Expulsions et déontologie : un cocktail explosif pour les travailleurs sociaux des centres d’accueil
La question de l’accueil des demandeurs d’asile et, au-delà, celle du sort réservé aux sans-papiers et aux clandestins peuvent s’appréhender àcourt, à moyen et à long terme. Chacune de ces perspectives est porteuse d’enjeux et d’interrogations spécifiques pour le travail social. À court terme,c’est le sort du protocole d’accord – vivement critiqué – conclu entre Fedasil et l’Office des étrangers (voir Alter Échos n° 192) quirequiert l’attention. À moyen terme, c’est un avant-projet de loi sur la politique d’accueil, en cours de finalisation au sein du cabinet du ministre de l’Intégrationsociale Christian Dupont (PS) qui figure au centre des débats. Et à long terme, la question posée est celle de la transformation des missions assignées aux assistantssociaux : d’un cadre éthique inscrit dans la droite ligne de la Déclaration des droits de l’homme et marqué par une volonté d’accroissement del’égalité de fait, les politiques sociales connaîtraient depuis une trentaine d’années un glissement vers la gestion de la fracture sociale et le contrôlede ceux que Robert Castel appelle les « surnuméraires ». C’est en prenant appui sur le court terme et l’actualité chaude des arrestations dans les centres que laPlate-Forme de vigilance pour les réfugiés et les sans-papiers1 et le Comité de vigilance en travail social2 ont voulu remettre en question ces tendances defond – dépassant la seule question des demandeurs d’asile – et peser sur le processus législatif en cours.
Une Wallonie sans pauvreté en 2025 ?
Fin juin, le Parlement wallon accueillait le Colloque sur le Réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP)1. L’occasion de rappeler l’ambitieux projet d’une «Wallonie sans pauvreté d’ici 2025 ».