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Regard critique · Justice sociale

Petite enfance / Jeunesse

Secteur jeunesse dans l’expectative

Le secteur jeunesse, dans sa majorité, voit d’un bon œil l’attitude de concertation adoptée par leur ministre Isabelle Simonis. Quant à leurs revendications, elles concernent essentiellement le financement de leurs structures et l’évaluation des décrets.

Le secteur jeunesse, dans sa majorité, voit d’un bon œil l’attitude de concertation adoptée par leur ministre Isabelle Simonis. Quant à leurs revendications, elles concernent notamment le financement de leurs structures et l’évaluation des décrets.
Le secteur jeunesse, c’est compliqué. Telle pourrait être la devise de cet agglomérat de structures plus ou moins connues, plus ou moins fréquentées et qui partagent à tout le moins un socle de valeurs communes autour de la citoyenneté responsable, active, critique et solidaire. Les fameux Cracs.
Comme la quasi-totalité du monde dit socioculturel, le secteur s’estime sous-financé. Et avance souvent de bons arguments pour étayer ce constat. Ils n’hésitent pas à le dire et à le répéter, avec cette logique imparable: «Sans argent au secteur jeunesse, pas de politique jeunesse efficace.» À tel point qu’un observateur peu avisé de ce qu’est le secteur et ses nuances infinies pourrait presque finir par penser que jeunes et secteur jeunesse ne font qu’un.
C’est donc dans ce registre que se situent aujourd’hui certaines fédérations d’organisations de jeunesse (OJ) ou de centres de jeunes (CJ).
Atmosphère austéritaire
La situation n’est pas simple. En centres de jeunes  comme en organisations de jeunesse, de nombreux emplois sont financés par les systèmes d’aides à la promotion de l’emploi (APE) en Wallonie et d’agents contractuels subvention...

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Cédric Vallet

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