#accueil
Budget sans-abrisme à Bruxelles: un gâteau aux parts inégales
Décembre 2015, collège réuni de la Cocom. Les budgets de l’année sont ajustés et ceux de l’année à venir votés. Au grand étonnement de tous, le programme de lutte contre le sans-abrisme se voit attribuer une augmentation budgétaire plutôt considérable, passant de 9,8 à 17 millions d’euros. C’est la politique d’accueil d’urgence, et principalement le Samusocial, qui est la principale bénéficiaire de l’explosion de ce budget.
Mineurs étrangers non accompagnés : la crise dans la crise
L’hiver dernier, des mineurs étrangers non accompagnés sont arrivés par centaines en Belgique, prenant de court le réseau d’accueil. Des places ont été créées à toute vitesse pour les héberger. Les Mena font face à bien des difficultés: certains sont accueillis dans des structures pour adultes, beaucoup n’ont ni tuteur ni interprète.
Accueil : la privatisation, c’est maintenant !
L’accueil des demandeurs d’asile a fait l’objet d’une privatisation partielle en Belgique. Des entreprises privées comme G4S fournissent désormais, au même titre que Fedasil ou les CPAS, l’hébergement, les soins de santé ou l’accompagnement psychosocial aux demandeurs d’asile.
Corine Jamar: «Les mères d’enfants handicapés sont tout le temps au front»
Emplacement réservé, c’est l’histoire d’une mère en colère contre ceux qui occupent la place de parking réservée pour sa fille handicapée de grande dépendance. Dans ce roman très inspiré du réel, Corine Jamar, auteure et mère d’une jeune fille handicapée, raconte avec humour et sensibilité la bataille quotidienne qu’elle livre pour lutter contre l’indifférence.
Céline Delbecq: «J’ai beaucoup d’affection pour cette jeunesse rejetée»
L’Enfant sauvage, la pièce de Céline Delbecq, évoque le quotidien difficile des enfants et de leur famille d’accueil. La metteuse en scène s’inspire notamment de son expérience comme bénévole dans une institution.
Céline Delbecq: «J’ai beaucoup d’affection pour cette jeunesse rejetée»
L’Enfant sauvage, la pièce de Céline Delbecq, évoque le quotidien difficile des enfants et de leur famille d’accueil. La metteuse en scène s’inspire notamment de son expérience comme bénévole dans une institution.
L’exil à visage humain sur la scène du National
Avec leur création «Ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu», le collectif d’actrices et d’acteurs «Nimis groupe» scrute la politique migratoire européenne toujours plus répressive. Un spectacle nécessaire à l’heure où une frange de l’opinion publique se laisse séduire par les discours de haine et de repli sur soi.
Foyers «pirates»: un business en eau trouble
À Bruxelles et en Wallonie, des structures à vocation commerciale proposent des services d’hébergement à des personnes particulièrement fragilisées. Si toutes ces initiatives ne sont pas à fourrer dans le même panier, les risques de dérive sont réels. Mais ces maisons sont aussi les seules à accepter un public qui ne trouve refuge nulle part ailleurs. Et à proposer un endroit où se poser à un public qui n’est plus en mesure de s’activer. Le monde associatif et politique est divisé: faut-il les réglementer ou les fermer?
Agressions, exploitation et harcèlement sexuel : le quotidien des femmes en exil
Les femmes réfugiées « sont confrontées aux agressions, exploitation et harcèlement sexuel lors de leur traversée de l’Europe », s’inquiète lundi Amnesty International, qui a récolté les témoignages de Syriennes et d’Irakiennes passées par la Grèce, la Turquie et les Balkans pour gagner le nord de l’Europe.
Alter vous rencontre… En image, en texte et en son !
En guise de prélude à notre fête des vingt ans, nous sommes très heureux de vous faire découvrir une petite série de « portraits sonores ». Rencontre avec Jacqueline Maun (Abaka).
Sortir de prison, pas si facile
Les détenus, dissimulés derrière des murs qui les enceignent, ont souvent un état de santé fragile, que la prison ne fait qu’aggraver. Mais la sortie n’est pas forcément synonyme d’une santé retrouvée.
Migrants toxicomanes: des escortes vers les soins
Difficile d’imaginer plus fragile qu’un consommateur d’héroïne en situation d’exil. C’est aux usagers de drogues les plus vulnérables que s’adressent deux nouveaux projets d’accompagnement mobile lancés par le Projet Lama. L’objectif: leur ouvrir la première porte vers l’accès aux soins.