A Bruxelles, des associations de jeunesse de trois communes ont coordonné leurs efforts pour produire des « mémorandums », suivis de débats.

Les maladies non transmissibles causées par la surnutrition font autant de victimes que la dénutrition1. L’OMS va jusqu’à parler d’une épidémiede l’obésité. Or l’obésité touche davantage les personnes en situation de précarité. Mais quand s’enchevêtrent alimentation etprécarité, on s’attaque à une question aux contours plus complexes qu’il n’en a l’air.

L’aide alimentaire se donne pour mission première de nourrir les plus démunis. Est-ce possible de concilier cet objectif avec une alimentation durable ? Si la question faitdébat, elle est souvent considérée comme accessoire. D’autres s’interrogent : à trop vouloir du durable, ne tendrait-on pas à imposer des comportementsaux plus pauvres ?

Alter Echos s’est placé au service d’une rencontre : celle entre les défricheurs de l’alimentation durable (producteurs, commerçants, etc.) et les professionnels du social (services sociaux, médecins, CPAS, communes, etc.).

L’aide alimentaire se donne pour mission première de nourrir les plus démunis. Est-ce possible de concilier cet objectif avec une alimentation durable ? Si la question fait débat, elle est souvent considérée comme accessoire. D’autres s’interrogent : à trop vouloir du durable, ne tendrait-on pas à imposer des comportements aux plus pauvres ?

Née en juillet 2012 à Trivières, dans l’entité de La Louvière, l’asbl « Les Petits Paniers du Cœur » est un service de distribution dedenrées alimentaires qui vient en aide aux familles sans ressources.

Pour ou contre la transmission des écrits aux familles dans l’Aide à la jeunesse

Des associations bruxelloises rédigent un mémorandum pour dénoncer la difficulté d’accéder à l’aide médicale urgente.

En moins de trois ans, l’organisation a pu aider plus de 900 jeunes entre 10 et 20 ans. Des jeunes en proie à la dépression ou ayant des tendances suicidaires.

Premier bilan d’ImmoSolidarity à la suite de sa campagne de mécénat lancée en janvier 2012.

La question de l’intégration revient en force. N’obtiendrait-on pas de meilleurs résultats avec un parcours attrayant et accessible ?

Chaque année, cinquante demandes d’enfants ou adultes handicapés à la recherche d’une famille d’accueil ne peuvent être satisfaites.