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Regard critique · Justice sociale

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Améliorer l'intégration directe des élèves à besoins spécifiques dans l'enseignement ordinaire

Le Conseil supérieur de l’enseignement spécial (CSES)1 vient de rendre un avis concernant « l’intégration directe des élèves à besoinsspécifiques dans l’enseignement ordinaire ». Alors que des mesures importantes ont été prises dans les Communautés flamande et germanophone pour favoriserl’intégration des élèves handicapés, l’Avis 119 part du constat de la trop grande imperméabilité entre enseignements ordinaire et spécial enCommunauté française. Le Conseil rappelle l’orientation prônée par la plupart des courants pédagogiques depuis les années 60, visant à intégrerla personne handicapée dans les milieux ordinaires : que ce soit au niveau de l’enseignement, du travail, des loisirs ou de l’hébergement. Concernant la situation desélèves souffrant d’un handicap, le Conseil distingue deux situations. Soit l’élève est inscrit dans l’enseignement spécial et bénéficie de la loi surl’enseignement spécial intégré, soit « il est inscrit dans l’enseignement ordinaire, parfois sans jamais avoir été inscrit dans l’enseignement spécial». On parle alors d’« intégration directe ».

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Après le croisement des savoirs, ATD Quart-Monde expérimente le croisement des pratiques

La misère du monde de Pierre Bourdieu et, dans son sillage, nombre d’ouvrages ont montré l’importance de partir de la connaissance des personnes les plus pauvres pour élaborernos connaissances sur la pauvreté. Avec Le croisement des pratiques. Quand le quart monde et les professionnels se forment ensemble, publié en octobre, ATD Quart-Monde entend franchirun pas supplémentaire.1

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Les politiques sociales : les nouvelles précarités, réalités multiformes des ratés de l'intégration

Entre le travail décemment payé à durée indéterminée et la dépendance prolongée d’allocations sociales, il existe une large zone grise quela dernière livraison de la revue Les politiques sociales1 qualifie de « nouvelles précarités ». Elle tente un tour de la problématiqueà travers différentes questions.

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Flémalle : 30 206 347 euros pour le logement

Dans le cadre de l’ancrage communal, l’échevin du logement flémallois Jean-Jacques Vervaeren a présenté lors du dernier conseil communal un programmespécial d’investissement en vue d’obtenir une aide régionale de 30 206 347 euros pour la rénovation des logements sociaux. Le parc locatif de la sociétéd’habitations sociales « Maison des Hommes »1 compte 2 754 habitations. Des travaux de rénovation seraient effectués dans 567 logements et 204démolitions seraient réalisées « car le coût de restauration est trop élevé » : les 204 habitations sont situées sur le plateau des Trixhes(Unité 4, quartier des Voisinages), dont « 104 sont inoccupées, car inoccupables », a déclaré l’échevin. Le conseil compte égalementreconstruire quelque 30 logements et la Maison des Hommes « envisagera toute piste pour reconstruire des habitations sur le lieu de démolition ». Le dossier sera envoyéà la Région wallonne pour le 15 février et les conclusions doivent parvenir à la commune pour le 15 avril. Les travaux seront ensuite effectués sur une duréede cinq ans.

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Plan Tandem pour l'aménagement des fins de carrière dans les secteurs de l'hébergement en Wallonie

Le 18 février, le ministre Detienne1 annonçait le démarrage du Plan Tandem, qui permettra l’aménagement des fins de carrière dans le secteur del’hébergement des personnes handicapées en Wallonie. Le dispositif, entériné par une Convention collective signée par les partenaires sociaux de la Commissionparitaire 319.02 et par des mesures prises par le gouvernement wallon, s’inscrit dans la droite ligne des accords du non-marchand de 2000.

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Les politiques sociales : les nouvelles précarités, réalités multiformes des ratés de l’intégration

Entre le travail décemment payé à durée indéterminée et la dépendance prolongée d’allocations sociales, il existe une large zone grise quela dernière livraison de la revue Les politiques sociales1 qualifie de « nouvelles précarités ». Elle tente un tour de la problématiqueà travers différentes questions.

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Les groupes d'entraide d'étudiants dans les écoles sociales et pédagogiques à Charleroi

Dans le cadre d’un récent colloque qui présentait les groupes d’entraide en Région wallonne – ces groupes qui rassemblent des citoyens vivant les mêmesdifficultés –, Isabelle Abras, maître assistante dans la section « assistants sociaux » à la Haute école provinciale de l’Université du travail,accompagnée de quelques étudiants, a expliqué la dynamique du projet PAIRS (Projet-Aide-Intégration-Réseau-Soutien). Ce projet est expérimenté depuisdix ans dans quatre écoles de travail social (l’IPSMA1 à Charleroi, l’Université du Québec à Montréal, et l’Université de Montréalainsi que dans le département des Sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscaminque).

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L'intégration des CPAS à la Banque carrefour de la sécurité sociale : un vaste chantier…

La connexion des CPAS à la Banque carrefour de la sécurité sociale (BCSS) est un des gros dossiers mobilisateurs de 2004 et 2005 pour les fédérations de CPAS dupays. En effet, jusqu’ici, seuls quelques CPAS étaient connectés. Un des nombreux avantages de l’opération est de simplifier et d’accélérer le remboursement durevenu d’intégration sociale. Il a donc été décidé au niveau du SPP Intégration sociale, que tous les CPAS devaient être connectés à laBCSS pour janvier 2006.
Intéressante à plusieurs titres, cette connexion demande un investissement de taille de la part des fédérations : enquête dans les CPAS sur leurs besoins et leurscraintes, journées d’information, accompagnement intensif sur le terrain, mise en place d’une commission, … Mais aussi de la part des CPAS tant en termes de formation et de changementdes habitudes qu’en termes financiers. Tour d’horizon du chantier.

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La commune et le CPAS de Woluwé-St-Pierre créent une SPRL à finalité sociale

Depuis son déménagement récent dans le centre communautaire de Joli-Bois, le CPAS de Woluwé-St-Pierre1 ne s’étend pas qu’en surface, il vient en effetde mettre sur pied avec la commune de Woluwé un partenariat inédit en Région bruxelloise : la création par deux services publics d’une SPRL à finalitésociale baptisée « Le coup de pouce de Woluwé-St-Pierre »2. Objectif : offrir aux habitants de la commune un certain nombre de services à domicile dont lebricolage, le jardinage, le nettoyage, etc. Les services seront effectués par 15 « article 60 »3 engagés par le CPAS et mis à disposition de la SPRL.Pourquoi avoir choisi un tel statut ? « Parce que nous ne voulions pas démarrer sous le statut d’asbl, à notre avis trop nébuleux, explique Frédéric Lombart,responsable du service insertion du CPAS de Woluwé. Il s’agit ici de présenter une comptabilité tout ce qu’il y a de plus transparent et d’offrir un véritable label dequalité. »

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Le Centre régional d'intégration du Brabant wallon prend ses marques

Après six mois de fonctionnement, le Centre régional d’intégration du Brabant wallon1 est en phase d’activation et se donne encore six mois pour mettre en place unesérie de projets et convaincre son public. Alter Échos a rencontré Pierre Anthoine, son directeur, ancien animateur de rue à Bruxelles et natif de la province.

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Secret professionnel : comment l’utiliser et pourquoi ?

Le secret professionnel est un outil de travail important pour les professionnels du social. Son utilisation les renvoie directement à leurs missions. C’est sans doute pourquoi il atoujours été problématique. Deux publications récentes le remettent à l’ordre du jour en partant de son cadre juridique, insistant chacune à leurmanière sur le fait que si le secret renvoie chacun à des arbitrages à caractère déontologique ou moral, il est aussi encadré par le droit.

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Le Fonds d'entreprises « La Wartoise » quitte la Fondation Roi Baudouin et se rebaptise « Cap 2010 »

Après avoir investi environ 4 millions d’euros dans sa région via son « Fonds la Wartoise » (clôturé après avoir soutenu 48 projets), et via unesérie d’actions menées en direct, la Fondation Chimay-Wartoise lance une nouvelle initiative sous le slogan « Cap 2010 ».