#Amnesty
Centres fermés : l’enfer du décor
Plusieurs ONG viennent de publier une chronique intitulée Douze mois dans les centres fermés, douze vies bouleversées1. L’Office des étrangersconteste les témoignages.
À la recherche de Mr X : quand les jeunes se mêlent
Allier découverte de l’autre et découverte de l’espace urbain : tel est le défi que vont prochainement relever 200 jeunes issus de 8 communes bruxelloises.Initié par l’AMO Samarcande1 d’Etterbeek et SOS Jeunes Quartier libre2, le jeu « Bruxelles X »3 espère susciter d’autresinitiatives de décloisonnement des jeunes dans leur quartier.
Traitements inhumains à Vottem : une enquête externe est exigée
Le magazine Ciné Télé Revue a publié ce 16 novembre l’interview de quatre gardiens du centre fermé de Vottem. Ces gardiens témoignent, sous couvertde l’anonymat, de faits extrêmement inquiétants : graves carences dans la prise en charge des détenus malades, pressions du régime de groupe, utilisation abusive del’isolement, brutalités …
pendant les expulsions. Des témoignages qui ont suscité de nombreuses réactions indignées au niveau politique et associatif.
Enfants en centres fermés : on se mobilise !
Le 29 mars, le délégué général aux Droits de l’enfant, Claude Lelièvre1, visitait l’aile des familles nouvellement aménagée ausein du centre fermé pour demandeurs d’asile de Vottem. Un rapport très critique s’en est suivi. Côté gouvernement, des propositions d’amélioration ontété faites, mais elles ont été vertement critiquées par le Centre pour l’égalité des chances. Depuis, un appel contre l’enfermement desenfants a été lancé par diverses organisations et personnalités.
Violences conjugales : le plan d’action national critiqué
Le 8 février 2006, une conférence interministérielle rassemblant des représentants des différentes entités fédérées a accouchéd’un » Plan d’action national commun au Fédéral, aux Communautés et aux Régions » ainsi que d’une définition commune de la violence dans lecouple, nous en parlions dans le n°202 d’Alter Echos. Àla suite de la diffusion de ce plan, Amnesty International Belgique1, qui mène depuis deux ans campagne contre les violences conjugales, se montre très mitigée. » Sil’on ne peut que se féliciter de voir que les choses bougent enfin et que les différents acteurs sensés intervenir en la matière vont enfin être réunisautour d’une même table, il est malgré tout difficile de ne pas en retirer l’impression d’un long alignement de mesures disparates et qui manquent parfois de souffle « ,analyse l’organisation. Explications.
Un protocole d’accord entre l’Office des Étrangers et Fedasil soulève de vives critiques
À peine le rapport d’activités 2004 de Fedasil était-il mis sous presse qu’un protocole d’accord entre l’Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile etl’Office des Étrangers faisait l’objet de vives critiques de la part d’une série d’associations1. En cause : l’encadrement que Fedasil offrirait aux arrestationseffectuées dans ses centres en vue d’un éloignement (selon le nouvel euphémisme administratif pour « expulsion »). C’est ainsi que, depuis début juillet– soit un mois déjà avant la mise en oeuvre du protocole contesté –, 56 résidants de centres d’accueil ont été arrêtés et 39expulsés.
Un protocole d'accord entre l'Office des Étrangers et Fedasil soulève de vives critiques
À peine le rapport d’activités 2004 de Fedasil était-il mis sous presse qu’un protocole d’accord entre l’Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile etl’Office des Étrangers faisait l’objet de vives critiques de la part d’une série d’associations1. En cause : l’encadrement que Fedasil offrirait aux arrestationseffectuées dans ses centres en vue d’un éloignement (selon le nouvel euphémisme administratif pour « expulsion »). C’est ainsi que, depuis début juillet– soit un mois déjà avant la mise en oeuvre du protocole contesté –, 56 résidants de centres d’accueil ont été arrêtés et 39expulsés.
Les violences contre les femmes dans la sphère familiale : un film et un débat au Forum à Namur
« Trois femmes sur cinq sont victimes de violences à un moment de leur vie. Battues, violées, séquestrées, humiliées, mutilées, harcelées,vendues, elles subissent des violations de leurs droits fondamentaux… ». Et une femme sur cinq est victime de violences dans le couple. Thème d’une campagne d’AmnestyInternational1, la violence contre les femmes dans la sphère familiale a été portée en débat ce 25 novembre au cinéma Forum2 à Namur, après laprojection du superbe film espagnol Te doy mis ojos3 (Je te donne mes yeux).