#appel à projets
Aide wallonne aux immigrés : budget retrouvé mais on rebat les cartes
La ministre wallonne de l’Action sociale, Christiane Vienne (PS)1, a plaidé ce 4 avril à Namur en faveur d’une politique d’intégration des personnesétrangères ou d’origine étrangère plus dynamique et moins favorable « aux rentes de situation ». Elle propose également à la Communauté françaisede sceller un accord de coopération pour un financement croisé des écoles de devoirs.
Contre le sentiment d’insécurité, écouter et stimuler au niveau local
La Fondation Roi Baudouin (FRB) présentait ce 9 mars dans ses bureaux les résultats d’une étude qu’elle a lancée deux ans plus tôt sur le sentimentd’insécurité1. Parti de l’écoute des citoyens, ce rapport rend compte de la perception que ces derniers ont de leur insécurité. Lesperceptions de l’insécurité et les opinions varient fortement.
Péricles : 500 emplois dans l’Économie sociale
Beaucoup d’entreprises, et singulièrement les PME et les TPE, sont confrontées à des problèmes structurels de main-d’œuvre, surtout pour accomplir destâches nécessitant relativement peu de qualification (entretiens d’espaces verts et de parking, menues réparations, etc.), mais ne représentant pas un volume suffisant pourpermettre la création d’emplois supplémentaires en interne. Par ailleurs, le secteur des services aux entreprises reste encore relativement peu exploité en Régionwallonne alors qu’il est un des plus porteurs d’emplois en Flandre : autrement dit, le potentiel de création d’emplois dans cette niche d’activité est important. C’est en sebasant sur ce double constat que le gouvernement wallon a décidé de lancer, en novembre 2005, l’appel à projets Péricles – acronyme de Partenariat économiquepour le redéploiement industriel et les clusters par l’économie sociale1. Premier retour sur une initiative visant à créer 500 emploissupplémentaires d’ici 2007, à l’heure où les projets remis sont sur le point d’être examinés et sélectionnés.
Intégration des personnes étrangères : Christiane Vienne précise, l’opposition fustige
L’annonce de la suppression début décembre de subsides de la Région wallonne à une série d’associations oeuvrant pour l’intégration despersonnes étrangères a provoqué un tollé général dont nous nous sommes fait l’écho dans l’Alter Echos n°199. Ce 10 janvier, laministre wallonne de l’Action sociale, Christiane Vienne (PS)1, était interpellée sur le sujet et a apporté quelques précisions concernant lesmodalités futures de financement pour les associations du secteur.
Le quartier des Balances à Salzinnes : rendre au quartier une identité positive
Le quartier de logements sociaux des Balances à Salzinnes a été pendant trois ans le terrain d’une recherche action menée en partenariat par l’Espacecommunautaire – MJC1 du quartier et le Forem Conseil avec le soutien du Service des Affaires sociales de la Ville de Namur et du Service Culture de la Communautéfrançaise. Une publication vient de sortir : « Formation Recherche Action » par Thierry Tournoy et Olivier Bouche2.
Diminution drastique pour l’aide wallonne aux immigrés
Séisme dans le monde des associations de terrain travaillant à une meilleure intégration des étrangers en Wallonie. Sur 147 associations, seules 82 associationsdevraient encore être subsidiées. Poussée dans le dos par un budget réduit, la ministre wallonne de l’Action sociale, Christiane Vienne (PS)1, aeffectué quelques coupes sombres dans le secteur. Explications.
Adoption d'un « Plan national de lutte contre la fracture numérique »
En matière de lutte contre la fracture numérique, les actions – et les résultats – n’avaient jusqu’à présent que très partiellement suivi lesdiscours. Qu’on se souvienne, par exemple, du projet des ministres Daems et Onkelinx d’offrir des chèques-PC et des chèques-connexion aux ménages à faibles revenus(« e-Day »). Projet abandonné en fin de législature passée, suite aux blocages de la Région flamande… Peu de chance qu’un tel scénario se reproduisecette fois-ci, cependant, puisque la Conférence interministérielle « Intégration dans la société » a adopté ce 12 octobre un Plan nationalde lutte contre la fracture numérique, à l’initiative de Christian Dupont, ministre de l’Intégration sociale (PS)1, et Peter Vanvelthoven, secrétaired’État à l’informatisation de l’État (et désormais également ministre de l’Emploi, suite au jeu de chaises musicales au sein du SP.A).
Adoption d’un « Plan national de lutte contre la fracture numérique »
En matière de lutte contre la fracture numérique, les actions – et les résultats – n’avaient jusqu’à présent que très partiellement suivi lesdiscours. Qu’on se souvienne, par exemple, du projet des ministres Daems et Onkelinx d’offrir des chèques-PC et des chèques-connexion aux ménages à faibles revenus(« e-Day »). Projet abandonné en fin de législature passée, suite aux blocages de la Région flamande… Peu de chance qu’un tel scénario se reproduisecette fois-ci, cependant, puisque la Conférence interministérielle « Intégration dans la société » a adopté ce 12 octobre un Plan nationalde lutte contre la fracture numérique, à l’initiative de Christian Dupont, ministre de l’Intégration sociale (PS)1, et Peter Vanvelthoven, secrétaired’État à l’informatisation de l’État (et désormais également ministre de l’Emploi, suite au jeu de chaises musicales au sein du SP.A).
Relance bruxelloise de l'intérim d'insertion ?
Un appel à projets paru récemment au Moniteur1 pourrait laisser croire qu’il existe une volonté politique au niveau de la Région bruxelloise,d’investir à nouveau dans l’intérim d’insertion – ce dispositif lancé lors du Plan de Printemps de 2000 et qui, c’est un euphémisme, n’avait pas tenu toutes sespromesses. Il s’avère en fait que c’est plutôt d’intérim social qu’il s’agit (même si le terme utilisé dans l’appel à projets est bien celui d’intérimd’insertion) avec, parmi les sources d’inspiration, un projet mené en Flandre depuis six ans.
Relance bruxelloise de l’intérim d’insertion ?
Un appel à projets paru récemment au Moniteur1 pourrait laisser croire qu’il existe une volonté politique au niveau de la Région bruxelloise,d’investir à nouveau dans l’intérim d’insertion – ce dispositif lancé lors du Plan de Printemps de 2000 et qui, c’est un euphémisme, n’avait pas tenu toutes sespromesses. Il s’avère en fait que c’est plutôt d’intérim social qu’il s’agit (même si le terme utilisé dans l’appel à projets est bien celui d’intérimd’insertion) avec, parmi les sources d’inspiration, un projet mené en Flandre depuis six ans.
Le Forem : entre accompagnement des chômeurs et plan Marshall
Plan Marshall, rapport d’activités 2004 et bilan d’une année d’accompagnement des chômeurs, autant de raisons pour le Forem1, d’effectuer, début septembre,une rentrée médiatique en compagnie de ses deux ministres de tutelle, Marie Arena (PS) pour la Formation et Jean-Claude Marcourt (PS) pour l’Économie et l’Emploi.
Cinq projets pilotes pour que l’économie sociale monte dans le train de la gestion de la qualité
En 2002, le ministre fédéral de l’Économie sociale lançait un appel à projets pour soutenir des démarches visant à introduire dansl’économie sociale la gestion qualité. Sa sélection a voulu tenir compte à la fois de la variété des entreprises sociales, mais aussi de lavariété des normes qui existent en la matière. Outre l’incontournable ISO, on retrouve donc aussi l’Emas et la méthode EFQM, et un projet en matière dequalité d’emploi. Le point, trois ou quatre mois après le démarrage des cinq dynamiques en cours.