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Plan logement bruxellois : Disturb apporte sa pierre à l’édifice
En mai 2006, le collectif Disturb organisait le workshop “En Brik” autour du fameux “Plan logement”bruxellois visant la construction de 5 000 nouveaux logements. Plutôt que de jeter un nouveau pavé dans la mare, “En Brik” souhaitait, au contraire, apporter sa pierreà l’édifice. Aujourd’hui, le collectif publie ses recommandations.
Développement local : enjeux pour Ixelles
Pourquoi la Maison de l’emploi d’Ixelles1 s’intéresse-t-elle au développement local ? D’abord parce qu’il implique une collaboration despouvoirs locaux et régionaux, pour dynamiser l’emploi sur la commune. Ensuite parce qu’il met en contact des réseaux et permet de croiser besoins et opportunités sur unterritoire donné. De cette manière, l’insertion peut devenir un projet transversal à l’ensemble des projets de développement. Plus largement, cettejournée de réflexion organisée par la Maison de l’emploi a présenté des différentes manières d’aborder le développement local : àtravers l’économique, l’insertion professionnelle, le culturel , la revitalisation urbaine ou le plan communal de développement. Comme souvent, ce sont les contrats de quartier qui ontsuscité le plus de débats.
À pas de loup vers le logement public durable
La société wallonne du logement (SWL)1 cherche à se positionner sur les enjeux du développement durable. Le 29 mai 2006, elle lançait un concours deprojets de conception de logements durables. Profitant de la remise des prix aux cinq lauréats, la SWL invitait, le 27 novembre dernier, sociétés de logement public, communes etarchitectes à explorer des pistes concrètes de développement de ce type de logements. Échos de la matinée2.
À Droixhe, un partenariat public-privé se substitue à la société Atlas
Le 29 mai, l’assemblée générale de la société de droit public Atlas, gestionnaire du complexe social de Droixhe à Liège, a voté saliquidation.
Les Centres d’expression et de créativité plantent leur tente à Tournai
En février, ils « se livraient » à la foire du Livre. En mai, ils « s’exposent » à la Maison de la culture de Tournai1 et s’ymettent en débat. Après-demain, ils se décréteront. Les Centres d’expression et de créativité (CEC) sont sous les projecteurs.
Le non-marchand bruxellois met la pression
Au moment où le ministre-président du collège de la Cocof, Benoît Cerexhe (CDH) présentait sa déclaration de politique régionale devant le Parlementfrancophone bruxellois, il est un secteur qui était particulièrement à l’écoute. Dans le non-marchand bruxellois, les enjeux apparaissent en effet de plus en plusclairement – à défaut des réponses politiques qui y seront apportées.
C’est l’administration qui encadre désormais les formations pour PME et indépendants à Bruxelles
Le 17 juillet, l’assemblée de la Commission communautaire française a voté un décret1 qui clôture la régionalisation de l’IFPME,l’Institut de formation pour les classes moyennes et les PME. Contenant seulement deux articles, le texte crée au sein de l’administration un nouveau service à gestionséparée, le « Service Formation PME », auquel sont confiées – comme pour le nouvel IfalPME en Wallonie – les missions redéfinies depuis 1995 par unaccord de coopération tripartite avec la Communauté et la Région wallonne. De fait, ce service a ouvert ses portes début septembre.2
Gestion mixte : la Région bruxelloise a sa nouvelle ordonnance
Le 12 juin, le Parlement bruxellois a adopté le projet d’ordonnance sur la gestion mixte du marché de l’emploi proposé par le gouvernement àl’initiative du ministre de l’Emploi Éric Tomas.1
Le PleinOPENair s’est installé pour un mois sur le site de la Cité administrative
Pour son édition 2004, l’événement PleinOPENair (POA) organisé par le cinéma Nova et City Mined1 a laissé de côtél’itinérance qui nourrissait son concept. Le festival s’est incrusté un mois durant sur l’immense site de la Cité administrative, ex-paquebot administratif del’État belge, encastré entre le boulevard Pacheco, le Jardin botanique et la rue Royale. « Nous avons changé notre manière de travailler, explique GwenaëlBrees du Nova. Un appel à projets a été lancé sur la base de deux idées fortes. D’une part, le travail de mémoire sur les quartiers etl’urbanisme à Bruxelles, d’autre part un travail sur la créativité et l’imaginaire par lequel on peut aussi s’approprier un espace public peu connu. Si unbien de l’État est privatisé, ça ne veut pas dire que les fonctions liées à l’espace public disparaissent. »