#art
La culture en prison… une évasion vers l’après ?
La pratique de l’art et de la culture en prison offre l’occasion aux détenus d’acquérir des compétences dont, auparavant, ils ignoraient souvent tout. Utilesen prison, ces compétences s’avèrent primordiales à la libération, que ce soit sur le plan privé ou professionnel. Les activités culturelles agissentainsi en complémentarité avec les activités éducatives classiques qui visent à améliorer leur employabilité et à réduire les risques derécidive. Mais au delà de la réinsertion, l’expérience artistique permet surtout de se réaliser en tant qu’être humain. Ceci étantposé, la pratique se confronte souvent à la réalité de notre système pénitentiaire.
10 % de logement public partout, et gare aux récalcitrants
Nouvel épisode dans les sanctions pour les communes wallonnes n’ayant pas 10 % de logement public sur leur territoire : une proposition de décret veut instaurer unsystème d’amendes. L’Union des villes et communes de Wallonie (UVCW) met le holà.
Le Centre des arts scéniques a dix ans
Créé en 1998 à l’initiative de Charles Picqué (PS) alors ministre de la Culture, le Centre des arts scéniques (CAS) est actif sur le terrain del’insertion des jeunes comédiens. Tout un art !
Jeunesse et engagement citoyen : et si l’exemple venait du Nouveau Monde ?
Comment inciter les jeunes à prendre part aux débats publics, à s’investir dans la société, à réfléchir à ses enjeux, bref,à devenir des citoyens pensant et agissant ? Au Québec, depuis cinq ans, l’INM1 tente de relever la gageure avec son « École d’été». Avec un certain succès.
Philanthropie : l’avenir des associations ?
La Fondation Roi Baudouin organisait un déjeuner de presse, le 25 juin dernier, sur le thème « la philanthropie, ça marche ! » Échos de nos échangessur des esquisses d’enjeux, en prémices à une journée de la philanthropie programmée pour la rentrée.
Les combats de la FéBISP
La FéBISP1 présentait son nouveau site Internet à la presse ce 22 avril. L’occasion aussi pour la Fédération bruxelloise des organismesd’insertion socioprofessionnelle et d’économie d’insertion de faire le point sur son actualité et de tracer les enjeux, nombreux, de l’année 2008.
Quelles réponses fiscales à l'augmentation du coût de l'énergie ?
À rebours des solutions visant à réduire le coût de l’énergie, afin de la rendre accessible aux ménages les moins aisés (via par exemple uneréduction de la TVA), de nombreux acteurs – depuis les organisations environnementales jusqu’à la Commission européenne – plaident au contraire en faveur d’unbasculement de la fiscalité, pour rendre plus coûteux le prix des produits polluants et donc de l’énergie, et réduire de manière compensatoire la fiscalitésur le travail.
Féminin pluriel : l'art comme rempart face à l'infériorisation des femmes
Montrer la réalité et les problèmes d’inégalité rencontrés par les femmes tout en leur permettant d’ « accoucher » de leur potentiel créatif : telest le fil rouge de l’exposition-témoignage qui tourne actuellement dans plusieurs villes wallonnes.
Art2work, un site bruxellois pour un pool d'employeurs artistiques
Le concept de « cité créative », très prisé des Anglo-Saxons1, pourrait trouver sa place à Bruxelles. Il présente lacréativité comme un moteur de la croissance économique pour les villes post-industrielles. Dans cette logique, l’asbl Art2work2 souhaite créer un poold’employeurs artistiques qui jouerait le rôle d’acteurs d’insertion socioprofessionnelle.
Smart va créer une Fondation pour ses activités commerciales
Smart asbl1 défend les droits des artistes professionnels depuis 1999. Elle comptait alors une cinquantaine de membres. Aujourd’hui, 17 000 personnes y sontaffiliées, plus de 13 000 donneurs d’ordre y sont inscrits et 65 équivalents temps plein y travaillent. Gérant au bénéfice des artistes des sommes pour unmontant annuel de 48 millions d’euros, l’asbl a estimé le temps venu d’adapter ses structures.
Les Mourettes : un projet de réinsertion par l'hippothérapie
Depuis 1997, l’asbl Les Mourettes1, vissée dans la campagne de Fayt-lez-Manage, s’est donné pour objectif, par la zoothérapie, de venir en aide aux personnesatteintes de handicap, aux femmes battues, aux autistes, aux jeunes des quartiers. Pour leur apporter confiance en soi. Sporadiquement, le site est ouvert aux écoles. À l’approche deses dix ans, l’asbl va devenir un centre de jour et créer trois emplois APE2.
Absentéisme au Conseil communautaire de l’Aide à la jeunesse
Le CCAJ est « un organe de réflexion qui a une compétence générale pour émettre, même d’initiative, des avis et propositions pour toutesmatières intéressant tant l’aide à la jeunesse que la protection de la jeunesse, en ce compris l’aide aux enfants victimes de maltraitance »1. LesCAAJ (Conseils d’arrondissement de l’Aide à la jeunesse) étant maintenant renouvelés, c’est au tour des mandats CCAJ à être désignésavant le 1er octobre, et ce pour six ans renouvelables. Le moment de faire le point sur le fonctionnement du CCAJ et surtout de questionner l’absentéisme de ses membres.