Depuis des années, Alain Fauvage récolte de la nourriture invendue pour ensuite la redistribuer aux plus démunis. Pragmatique et pas empreint de fausse « coolitude » pour un sou, l’homme ne la ramène pas. Il se contente de conduire sa camionnette.

Sophie Joris est responsable des activités de Groupe One en Wallonie1. Active dans l’aide à la création d’entreprises à Bruxelles, en Wallonie et au Congo, cette asbl porte une attention toute particulière au développement durable. Sophie Joris a participé à une étude sur les circuits courts alimentaires de production-distribution-consommation au niveau local.

Comment le secteur de l’emploi/formation compose-t-il avec un public en proie à des problèmes de santé mentale ? Réponse en Wallonie.

Née en juillet 2012 à Trivières, dans l’entité de La Louvière, l’asbl « Les Petits Paniers du Cœur » est un service de distribution dedenrées alimentaires qui vient en aide aux familles sans ressources.

Depuis quelques années, on parle beaucoup de ces Community Land Trusts (CLT). Bruxelles.

Le Conseil national du travail (CNT) a remis en juillet un avis qui pourrait redistribuer les cartes en ce qui concerne le statut d’artiste.

Des associations bruxelloises rédigent un mémorandum pour dénoncer la difficulté d’accéder à l’aide médicale urgente.

Depuis 2010, le relais social namurois a mis sur pied un projet « d’équipes mobiles de rue » inter-services pour aller à la rencontre des grandsprécarisés.

Les organismes à finalité sociale (OFS) mettent en œuvre des actions locales dans une perspective de développement durable. Un changement de cap qui doit surmonter certains obstacles.

Pour intégrer davantage de jeunes parents « d’origine allochtone », Gand a créé la « Villa Kakelbont », qui abrite sous le même toit des cours de néerlandais et d’orientation sociale pour les adultes et une garderie pour leurs enfants.

Les organismes à finalité sociale (OFS) mettent en œuvre des actions locales dans une perspective de développement durable. Un changement de cap qui doit surmontercertains obstacles.

De jeunes artistes de quartiers populaires bruxellois estiment que les centres culturels les discriminent. Le débat fait rage.